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The key, notre jeu coup de cœur ❤️️

The Key, de quoi ça parle ?

Dans The Key, vous incarnez des détectives et devez résoudre plusieurs affaires. Oui, plusieurs affaires, car The Key n’est pas UN JEU, mais DEUX. Deux différentes boîtes, deux différentes affaires, deux différentes difficultés, mais mêmes mécaniques et même auteur, Thomas Sing.

Thomas Sing. Ce nom vous dit certainement quelque chose, il est sur toutes les lèvres de la communauté des jeux de société ces jours. C’est l’auteur de The Crew, cet incroyable micro-jeu de cartes coopératif de pli à la Jass, dans un univers SF, avec un gros twist : le jeu est évolutif, avec 50 missions à accomplir. The Crew fait partie des jeux nommés au Spiel des Jahres 2020.

Hasard des coïncidences des calendriers, l’auteur sort donc trois jeux en même temps, à quelques semaines d’intervalle à peine : The Crew, The Key – Vols à la Villa Cliffrock, et The Key – Meurtres au Golf d’Oakdale. Avec des jeux iconoclastes, souvenez-vous bien du nom de l’auteur, Thomas Sing, jusqu’ici plutôt discret. Né en 1961, il n’est plus tout jeune non plus, il a commencé sa carrière d’auteur de jeu il y a exactement dix ans avec Miss Lupun, un jeu de logique avec des chiffres à placer sur une grille. Espérons que c’est un nom que l’on reverra encore souvent.

Mais revenons à nos clés. Dans les deux boîtes de The Key, le but est de résoudre deux affaires complètement différentes : un cambriolage d’objets précieux et trois meurtres.

Le pitch de Vols à la Villa Cliffrock

Le pitch de Meurtres au Golf d’Oakdale

Les règles placent le contexte, et tout est important : suspects, moyens de se sauver, lieu et objet du meurtre, etc. Un jeu qui lorgne du côté des jeux narratifs, mais pas vraiment non plus.

Dans la série The Key, le but est de se saisir rapidement avant les autres de cartes placées face cachée, cartes qui vont fournir des éléments de preuve et qui permettent de déduire la résolution des crimes commis. Dans The Key, on se situe entre un Jungle Speed, à peu près, et un jeu de déduction à la Cluedo.

Les deux boîtes The Key atteignent un 4 sur 5 sur l’ITHEM.

Et comment on joue ?

On commence par placer TOUTES les cartes du jeu face cachée au centre de la table. Tout le monde prend un écran et un stylo, et on choisit une couleur de clé parmi neuf. Cette couleur est décisive et marque la couleur décisive de l’affaire en cours.

En simultané, tout se le monde se jette sur les cartes le plus rapidement possible et se saisit des cartes pour les récupérer et les consulter en secret derrière son écran.

Quelle carte prendre ? Celles qui affichent la couleur de l’affaire en cours uniquement. Les autres sont de fausses pistes. Il faut donc :

  1. Se dépêcher
  2. Bien observer quelle carte affiche quelle couleur
  3. Se dépêcher

Une fois les cartes prises, on les consulte donc à l’abri de son écran. Ces cartes indiquent un ou plusieurs indices pour tenter de résoudre l’affaire.

Mais.

Parce qu’il y a un mais. Et un twist. Plusieurs, en réalité. En plus d’indiquer un ou plusieurs indices, en plus d’afficher une ou plusieurs couleurs qui correspond à l’affaire en cours, chaque carte peut :

  1. Parfois donner le même indice qu’une autre carte. Donc pas de chance.
  2. Souvent donner un indice extrêmement vague, lacunaire, parcellaire. Il faudra d’autres cartes pour réussir à déduire, relier les fragments d’informations pour enfin recomposer et résoudre l’affaire : qui a fait quoi, quand, où, comment.
  3. Toujours indiquer un chiffre. Ces chiffres s’additionnent en fin de partie pour savoir qui a remporté la partie. Comme dans un Sherlock Holmes Détective Conseil, plus on suit de pistes, ou ici dans The Key plus on prend de cartes, et plus on s’éloigne de la victoire. Mais plus on obtient de preuves pour résoudre l’enquête. Bref, tel un funambule sur son filin, il va falloir évoluer sur une corde tendue pour trouver son équilibre entre un « ni trop, ni trop peu. Chaud.

Une fois qu’une personne à la table pense avoir trouvé, elle se saisit de la clé, qui lui donne un mini-avantage en fin de partie. Cela lui permet de retirer une carte. Donc retirer des points d’enquête.Donc espérer totaliser moins de points que les autres pour ainsi remporter la partie. Pour autant bien sûr que sa déduction est la bonne ! Les autres à la table continuent « d’enquêter », de prendre des cartes, jusqu’à ce que tout le monde ait trouvé.

Les règles s’expliquent en une poignée de minutes. Le plus compliqué n’est pas d’apprendre à jouer, mais de relier les indices fournies par les cartes pour résoudre l’affaire en cours.

Et comment on gagne ?

Dès que tout le monde annonce avoir trouvé, on compare son résultat avec un code par affaire, par couleur. Le système de résolution est vraiment ingénieux et subtil, avec un système de code et de… clé, d’où le titre du jeu.

Toutes les personnes qui ont trouvé additionnent alors les points sur les cartes piochées, et la personne qui en obtient le moins remporte la partie.

Simple, intense, efficace.

Interaction ?

Sur l’IGUS, l’échelle de mesure de l’interaction dans les jeux, la série des jeux The Key atteint un 2/5.

Pourquoi ?

Parce que dans la série The Key, on joue dans son coin, avec et sur son écran à cocher les bons éléments. Et ceci avant les autres. Un IGUS à 1 sur 5.

Avec toutefois un soupçon d’interaction directe supplémentaire dans le fait de piocher des cartes en même temps du tas commun. Ce qui pousse à se dépêcher de trouver les cartes avant les autres. Ce qui pousse à se dépêcher de trouver la résolution de l’affaire avant les autres.

À combien y jouer ?

Le jeu est prévu pour 1 à 4. Oui, on peut très bien y jouer en solo. The Key est même excellent en solo, surtout en cette période troublée de (dé)confinement.

The Key se joue également très bien à plus !

À partir de quel âge y jouer ?

Le jeu indique 8 ans. Comme il y a un peu de texte sur certaines cartes, deux trois lignes, deux trois mots, très peu au final, il faut quand même s’assurer que les enfants soient capables de lire.

Mais 8 ans paraît ambitieux, au vu de la difficulté de déduction posée par le jeu. Et surtout dans le deuxième opus de la série, Meurtres au Golf d’Oakdale, de difficulté médiane, également conseillé dès 8 ans, beaucoup plus complexe.

Il faut relever que comme The Key est édité par Haba, l’éditeur allemand de jeux pour enfants et familles. Ils ont voulu également vendre leur jeu à un public plus jeune, moins « pro ». Dans le passé, il leur est déjà arrivé de s’aventurer du côté d’un public plus… joueur. Le cas par exemple avec leur Iquazú, qui n’a pas trouvé son public et qui n’a jamais connu le succès qu’il aurait mérité.

C’est peut-être pour cela qu’ils ont choisi d’indiquer 8 ans sur la boîte de la série The Key, en cherchant à vendre le jeu aux familles. Alors qu’en réalité, le jeu, et surtout la deuxième boîte, s’adresse autant aux familles qu’à un public plus chevronné !

On peut vraiment dire que The Key est un jeu tout public. Même s’il faut le reconnaître, cette appellation comporte une certaine part de considération péjorative au sein de la communauté du jeu de société. En règle général, tout public signifie plutôt : familial, noob. Cependant, dans le cas de The Key, le jeu est suffisamment ample et exaltant pour que tout type de public y trouve son compte et plaisir.

Comptez donc plutôt d’y jouer dès 10-12 ans pour que les enfants aient eux aussi toutes les chances d’y arriver, et pour ne pas trop les frustrer. Avec un public plus jeune, aux compétences de déduction peut-être moins affûtées, le risque existe que si les enfants foirent 2-3 enquêtes, déçus, ils n’auront alors plus envie de jouer.

Et au fait, quelle boîte choisir ?

Pour le moment, The Key se décline dans deux boîtes : niveau débutant, Vols à la Villa Cliffrock, et niveau intermédiaire, Meurtres au Golf d’Oakdale.

Si les finances suivent, l’idéal est de vous procurer les deux boîtes. Commencez par vous entraîner avec le niveau débutant, déjà bien complexe, puis enchaînez ensuite avec le prochain, beaucoup plus difficile. Si au premier niveau, dans la première boîte vous devez associer et retrouver 3×3 éléments, au prochain niveau, c’est 3×4. Plus de possibilités, plus de difficulté. Les choses se compliquent.

À noter également que les parties se rallongent. Entre le premier et le deuxième niveau, la durée de jeu passent presque du simple au double. Les indices deviennent également plus compliqués, telles les montres cassées ou les séquences d’ADN. Enfin, au deuxième niveau, tout repose sur les négations et l’élimination, alors que dans le premier, on est plutôt dans la constatation, la « simple » affirmation.

Commencer par la deuxième boîte tout de suite, sans passer par la première, par le premier niveau ? Pourquoi pas. Mais bonne chance ! Et si vous comptez plutôt y jouer en famille, la première boîte suffit.

Vivement la troisième boîte en mode hardcore. Avec cette fois 3×5 paramètres ? Aïe. Pour le moment, cette troisième boîte n’est pas encore sortie. L’équipe attend peut-être de connaître les ventes des deux premières pour voir si cela vaut la peine de sortir la troisième.

Alors, The Key, c’est bien ?

Oh oui, c’est vraiment, vraiment, vraiment bien. Le jeu se prend en main en quelques secondes, pour s’intensifier chaque minute qui s’écoule. Une carte, un indice, un fragment d’information, puis une autre, et encore une autre. Pour enfin réussir, ou se planter, à résoudre l’affaire. Un Sherlock sous pression.

Rapidité et déduction, le tout servi par des cartes aux informations parcellaires extrêmement subtiles et passionnantes : un bout d’ADN par-ci, une empreinte par-là, un calcul de temps d’itinéraire pour le criminel pour se rendre sur le lieu du crime, de la logique, des éléments visuels floutés, cassés ou cachés à retrouver. Bref, une ribambelle rocambolesques d’indices à recomposer, relier et résoudre. Prenant et palpitant !

Un seul mot : FONCEZ !

The Key est LE JEU PARFAIT à sortir cet été !

🔴 The Key, score final :

Note : 5 sur 5.

Ce qui nous a plu ❤️️

✅ Les deux boîtes aux difficultés différentes

✅ Un jeu palpitant. Pourquoi joue-t-on ? Pour vivre ce genre d’expériences intenses ! C’est en jouant à The Key que l’on comprend pourquoi on aime autant jouer aux jeux de société.

✅ Les illustrations, nettes et efficaces

✅ Un jeu que tout aspirant policier et détective devrait essayer

✅ Un grand écart réussi entre party-game et jeu d’enquête

✅ Un EscoScore au top ! Comme souvent avec les jeux Haba ❤️️

✅ Un large éventail d’indices : ADN, empreintes, fuite, objet, photo à retrouver, etc. qui sollicite plusieurs compétences variées : observation, logique, déduction

✅ Un jeu qui développe des compétences cognitives essentielles

Ce qui nous a moins plu ⛔️

❌ Un jeu Kleenex. Une fois les 9 enquêtes effectuées, il y a peu de chance qu’on y rejoue. Ou alors après plusieurs mois, années, une fois les solutions oubliées

❌ L’envie, parfois, d’abandonner. Il va falloir faire preuve de persévérance. On aurait tôt fait de lâcher l’enquête et le jeu après plusieurs minutes d’investigation à force de piétiner, juste pour voir la solution. Il faut réussir à s’accrocher (comme dans une véritable enquête, en somme)

❌ La frustration finale en constatant qu’on s’est trompé, sur toute la ligne. Tout ça, pour ça

❌ Le jeu indique 8 ans, mais c’est très, c’est trop ambitieux. Comptez plutôt 10-12 ans pour laisser la chance aux enfants de parvenir à relier les différents indices et résoudre l’affaire en cours par eux-mêmes

Et encore une chose

Vous pouvez consulter les règles de The Key – Vols à la Villa Cliffrock ici

➡️ Vous pouvez trouver The Key – Vols à la Villa Cliffrock chez Philibert ici

➡️ Vous pouvez trouver The Key – Meurtres au Golf d’Oakdale chez Philibert ici

➡️ Vous pouvez trouver The Key – Vols à la Villa Cliffrock chez Magic Bazar ici

➡️ Vous pouvez trouver The Key – Meurtres au Golf d’Oakdale chez Magic Bazar ici

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  • Auteur : Thomas Sing
  • Illustrateur : Timo Grubing
  • Éditeur : Haba
  • Nombre de joueurs et joueuses : 1 à 4 (tourne très bien à toutes les configurations)
  • Âge conseillé : Dès 8 ans (c’est peut-être un peu ambitieux. Les enfants doivent être capables de lire, certes, mais également de mettre toutes les informations en relation. Et ceci dans un temps court et sous pression de ramasser des cartes avant les autres. Comptez plutôt 10-12 ans)
  • Durée : 15-20′ par partie (environ, tout dépend des compétences de déduction des personnes présentes)
  • Thème : Enquête policière
  • Mécaniques principales : Rapidité, déduction

Puisque The Key est un jeu de déduction, peut-être vaut-il la peine de s’arrêter deux secondes sur cette mécanique très présente dans les jeux de société.

Les jeux de déduction font depuis longtemps partie de jeux de société. Les jeux de déduction classiques incluent le Cluedo (1949), Mastermind (1970), Qui est-ce ? (1979), Scotland Yard (1983), Code 777 (1985), et bien d’autres titres. En parlant de Mastermind, ne ratez pas l’histoire incroyable du jeu.

Aujourd’hui, avec le goût, la mode et l’essor immodérés des Escape Games, « de salon » ou IRL, les jeux de déduction sont un genre, une mécanique très présente sur le marché du jeu.

Pour faire simple, la déduction est la capacité mentale à associer divers éléments pour arriver à une solution. La déduction est un processus mental actif, délibéré. Au contraire de l’intuition, qui est une forme de déduction opérant à un niveau plus discret.

Parmi les titres plus ou moins les plus connus, plus ou moins les plus récents, sans inclure les Escape Games-like, voici quelques-uns des jeux de société de déduction les plus passionnants :

  • Hanabi. Un jeu de déduction coopératif dans lequel les cartes personnelles ne sont visibles que pour les autres
  • Mr Jack. Un jeu à deux, une sorte de jeu d’échecs, avec de la déduction en sus
  • Codenames. Faut-il encore le présenter ?
  • Cryptide. Gros coup de cœur pour ce jeu de déduction dans lequel il faut retrouver l’emplacement d’une créature légendaire
  • Sherlock Holmes Détective Conseil. Une toute nouvelle aventure est d’ailleurs attendue pour le 26 juin 2020
  • Sherlock Q-System. Une micro enquête qui tient sur quelques cartes à peine
  • Undo. Une toute nouvelle boîte est sortie il y a quelques jours
  • Alchimistes. Un gros jeu, entre jeu de gestion et jeu de déduction
  • Decrypto. Un party-game extrêmement subtil
  • Nom d’un Renard ! Un excellent jeu de déduction pour enfants dès 5 ans
  • Code 777, toujours vendu après 35 ans, et dont Hanabi est fortement inspiré
  • Et bien sûr, tous les jeux de déduction visuelle, comme Dixit, Detective Club, Dany, One Key, Codenames Pictures ou Similo
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10 Comments

  • Ced

    Bonjour Gus.

    Merci (encore une fois) pour ce très bon article et cette superbe découverte.
    Tu mentionnes succinctement que l’on peut jouer à plus, penses-tu qu’en utilisant 2 boîtes la config 8 joueurs devient possible, et suffisamment intéressante ?

    Merci pour ton retour.

    Très bonne journée.

    • Gus

      Bonjour Cédric,

      Avec plaisir, nous sommes là pour ça 🤗.

      Mais oui, tout à fait, avec deux boîtes, et à condition d’avoir une GIGANTESQUE table pour 1. laisser 1.50m de distance physique entre les gens et 2. pouvoir poser TOUTES les cartes au milieu.

      Mais oui, à 8, ça serait encore plus fun et tendu (et bordélique).

      Très bonne journée à toi aussi Cédric !

    • Bert

      Je tenterais de photocopier les écrans perso pour les joueurs supplémentaires, et ne jouer qu’avec un lot de cartes, pour éviter les doublons et rajouter un peu de tension.

  • Laurent

    Excellent jeu!
    Attention que pour la version vendue en Belgique de la boîte de difficulté moyenne (Oakdale) il y a au moins deux cartes erronées, on en a fait les frais et mentionné le problème sur bgg, l’éditeur a répondu et corrigera au prochain print :
    https://boardgamegeek.com/thread/2459928/article/35298602#35298602

    Je ne suis pas entièrement d’accord sur l’aspect kleenex. Il y a 9 enquêtes qui reviennent à identifier une combinaison de chiffres. Alors à moins de retenir par coeur l’association d’un code à 4 chiffres avec chacune des couleurs… Évidemment il ne faut pas jouer deux parties d’affilié sur la même enquête mais en tout cas moi je ne me sens pas capable de retenir ces codes dans le temps 😀 Chaque fois qu’on joue on mène son enquête un peu différemment vu la quantité de cartes disponibles et celles qu’on va commencer à tirer.
    De mon côté j’ai préféré également masquer d’une feuille blanche la plaque de vérification des codes dans la boîte afin d’éviter qu’on voit les codes systématiquement et une mémorisation involontaire.

  • BenoiC

    Je partage l’avis de Laurent sur l’aspect Kleenex du jeu. Je trouve chaque enquête parfaitement rejouable. J’ai ressorti la boite Cliffrock après deux mois au placard et je n’avais aucun souvenir des combinaison. Et pour avoir enchainé deux sessions de 3-4 parties avec 24h d’intervalle, je suis à peu près certain que si on rejoue une des enquête de la veille, au milieu d’un enchainement de partie, on ne se souvient plus de la combinaison.
    Bref, un jeu (pour la version débutant) qui se sort très facilement, qui s’explique et se prend en main très vite. On en redemande après chaque partie.
    Par contre, je le conseillerai à partir de 3 joueurs pour accentuer la tension liée à l’aspect course. Je n’ai pas retrouvé cette sensation sur une partie à deux.

À vous de jouer ! Participez à la discussion

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