
Mortum : Sombres enquêtes médiévales
Découvrez les secrets les plus sombres dans Mortum, le jeu de cartes coopératif pour les fans de dark fantasy et de jeux narratifs.
Mortum
Deux personnages détournant l’attention d’un aubergiste, deux autres crochetant la serrure de la porte arrière de l’auberge en question sous l’œil vigilant d’un arbalétrier en embuscade sur un toit proche. L’illustration de la boîte de Mortum est claire : on n’est pas ici pour enfiler des perles.
Bienvenue dans le monde dark fantasy de Mortum !
Mais c’est quoi, la dark fantasy ?
La dark fantasy est un sous-genre de la fantasy qui incorpore des thèmes perturbants et effrayants de fantasy. La fantasy est un genre littéraire et artistique qui représente des phénomènes surnaturels imaginaires, souvent associés au mythe et à la magie. La fantasy se déroule généralement dans un monde imaginaire peuplé d’êtres fantastiques comme des dragons, des elfes, des nains ou des sorciers. La fantasy est dédiée au rêve et à l’imagination. Il existe plusieurs sous-genres de la fantasy, comme la dark fantasy, justement, que l’on retrouve ici aujourd’hui dans Mortum.
La dark fantasy combine souvent la fantasy avec des éléments d’horreur sur un ton sombre et lugubre ou un sentiment d’horreur et de crainte. Les héros sont souvent fatigués et abattus par les épreuves qu’ils ont subies. La violence, la noirceur des décors et la présence de créatures démoniaques sont fréquentes dans ce genre.
Comme son nom l’indique, il s’agit d’un univers fantastique pouvant accueillir de la technologie et de la magie. Ces dernières ne sont toutefois pas prépondérantes mais utilisées comme un condiment.
Le sel de ce type de monde se trouve dans la dimension humaine des aventures. Les personnage ne sont pas ici pour sauver le monde mais pour se débattre dans leur petite vie quotidienne. Ils doivent trouver un emploi ( le plus souvent pas très… légal ) manger, protéger leur famille, et avoir des cas de consciences… s’ils en ont une, de conscience !
Le poivre de ce sous-type de la fantasy se dissémine dans un monde sombre, possédant peu d’espoir. Les rues sont sales, le ciel gris, les forêts sombres et maudites, le vol et l’exploitation humaine sont partout.
On y trouve aussi une dimension particulière de créatures antagonistes. Des influences lovecraftiennes par exemple. Les monstres rencontrés sont généralement informes, hideux, violents, cannibales ou pire !
Les antagonistes humains ne sont pas bien mieux. Dévorés par l’ambition, l’appât du gain, leurs vices et laissant aller leurs bas instincts… ils ne sont que la version humaines des monstres précédents. À moins que cela ne soit l’inverse.
Bref, une petite touche d’horreur, de glauque, de malsain et de désespoir. Ici nous ne sommes pas dans le Seigneur des Anneaux ou Willow. Les références tournent plus autour de Game of Thrones, mais surtout de The Witcher.
Il existe de nombreux exemples de dark fantasy dans la littérature, le cinéma, la télévision et la bande dessinée. Voici quelques-uns des plus connus :
- Les Annales de la Compagnie noire de Glen Cook : une série de romans qui suit les aventures d’une troupe de mercenaires au service du mal.
- Sandman de Neil Gaiman : une série de comics qui raconte les péripéties du maître des rêves et de ses frères et sœurs incarnant les forces cosmiques. Dont l’adaptation est sortie il y a quelques semaines sur Netflix.
- Le Labyrinthe de Pan de Guillermo del Toro : un film qui mêle le réel et le fantastique dans l’Espagne franquiste à travers les yeux d’une jeune fille.
- Elric de Melniboné de Michael Moorcock : une série de romans qui suit les aventures d’un anti-héros albinos et décadent.
- Le Trône de fer de George R.R. Martin : une série de romans qui se déroule dans un monde médiéval brutal et sans pitié³
- Ravenloft : une série de romans inspirés d’un univers du jeu de rôle Donjons & Dragonsoù les personnages affrontent des créatures horrifiques. Ressorti récemment sous le nom de La Malédiction de Strahd.
- Les Chroniques de la Lune noire de François Froideval : une série de bandes dessinées qui suit le destin d’un sorcier maléfique et de ses alliés dans un monde médiéval-fantastique.
Enquêtes de sens
Mortum. Voici un petit jeu dit Kleenex qui ne paye pas de mine lors de l’ouverture de la boîte : 3 petites boîtes format tarot remplies de cartes. Chacune représente un scénario, donc 3 scénarios dans la boîte…
Pas de règles à lire ou déchiffrer, il suffit d’ouvrir le premier paquet pour découvrir le système et se plonger directement dans l’histoire.
Chaque scénario possède plusieurs paquets de cartes à mettre en place, sans regarder de quoi il retourne bien sûr !
Le paquet scénaristique : le plus fourni. Des cartes géographiques, des lieux numérotés localisés sur ces cartes qui dérouleront l’histoire à proprement parler. La narration principale.
Différents paquets supplémentaires : Fouille , Surveillance et Raid. Ils seront au centre des actions à votre disposition. Lorsque vous faites une action particulière, vous irez chercher la carte du paquet correspondant.
Vous découvrirez le résultat en version narrative, ce qui pourra vous ouvrir de nouvelles pistes, de nouveaux lieux ou autres.
Ajoutez à cela deux cartes représentant les heures de la journée ainsi qu’un petit sablier à poser dessus. Son avancée vous mènera inexorablement à la fin de vos investigations.
Vous allez donc jouer, en coopération, 3 personnages parmi les 5 proposés au départ : assassin, chasseuse, voleur, espion ou guerrier. On sent tout de suite que nous ne sommes pas dans un monde tout mignon.
Vous faites partie d’une organisation vendant ses services et ses renseignements au plus offrant. Votre première mission vous emmène retrouver un contact pouvant vous donner (…vendre…) des informations pour trouver un village dissimulé aux yeux de tous portant le doux nom de Boischarogne. Boischarogne. Quel nom ! Comme si on en doutait encore, on est bien dans de la dark fantasy.
Une équipe de votre organisation est portée disparue dans ses environs mais personne ne sait où il se trouve précisément. Ce village ne sera que le point de départ des deux enquêtes suivantes. Mais ne divulgâchons pas !
Enquêtes d’actions
Les trois personnages choisis regroupent certaines compétences qui viendront produire la réserve d’actions communes à votre disposition.
Surveiller : le personnage choisit se met en embuscade près du lieu à observer. Durant les trois heures suivantes passées en jeu, il est indisponible. Trois heure plus tard, il revient auprès du groupe pour dévoiler les résultats de sa surveillance. On pioche la carte correspondante au lieu, via son numéro, dans la pioche de Surveillance, et on partage les informations à l’ensemble du groupe.
Un pion « Surveillance » est retiré de la réserve du groupe et on peut enchaîner la suite du scénario.
Fouiller : le personnage choisit est indisponible pour les 3 prochaines heures passées dans le jeu. Il passe tout ce temps à fouiller le lieu choisis de fond en comble. Lorsque les trois heures sont passées, on tire la carte possédant le numéro du lieu fouillé dans le paquet de cartes « Fouille » et on découvre le résultat des investigations du personnage.
Un pion « Fouille » du groupe est défaussé et on peut continuer l’aventure munis de preuves ou informations supplémentaires.
Faire un Raid : tous les personnages sont nécessaires pour cette action. Si certains sont en surveillance quelque part ou en train de fouiller un lieu, le Raid est impossible !
Cette action est puissante, vous permettant de fouiller et interroger ( de manière plus ou moins soft… ) les personnes présentes afin d’obtenir un maximum d’informations.
Mais vous n’en aurez que peu durant le scénario, à utiliser judicieusement donc !
Combattre : lors d’actions faisant intervenir des combats, des pions seront défaussé ou le groupe prendra des blessures…
Pièces : une bourse bien remplie, utilisée au bon moment, sera une alliée de poids. Des informations ou du graissage de patte sans perdre de temps.
Un peu plus loin dans votre aventure vous découvrirez également des personnages capables de pratiquer la Magie. Cette dernière permettra d’accélérer vos recherches…mais j’arrête ici afin de ne pas gâcher le plaisir.
En quête de temps
Dans Mortum, le système au cœur du jeu repose sur la gestion du temps.
En effet vous ne possédez qu’un laps de temps réduit pour mener vos enquêtes. Au fur et à mesure que vous découvrirez des cartes ( en visitant des lieux ou parlant à des personnages ) le temps s’écoulera. Certaines ne prennent pas de temps mais d’autres coutent entre 1 et 3 heures. Le recto et le verso étant différentiés, la perte de temps également.
Vous ne pourrez donc pas tout faire. Vous aurez des choix cornéliens : allons-nous au ravin pour le fouiller ou cherchons nous des indices supplémentaires à l’auberge.
Chaque carte se lira côté recto. Au bas vous aurez une liste de propositions ou actions disponibles. Parmi elles, la possibilité de pousser plus loin un interrogatoire ou écouter des rumeurs en retournant la carte côté verso. Peut-être cela vous prendra du temps supplémentaire, judicieusement dépensé ou perdu pour rien !
Ou peut-être que cela ne vous fera pas perdre de temps.
Une nouvelle fois, certaines options seront disponibles en bas de la carte, ou pas.
Vous devrez réfléchir à l’action que vous tentez et vous poser la question : dans la vraie vie, cela prendrait du temps ou pas ?
Ce mode de fonctionnement est plutôt de bon conseil avec Mortum.
En quête de repos
Second point lié au temps : l’heure de la journée.
À partir de 18h il vous sera conseillé de vous reposer afin d’être en forme pour 7h le lendemain matin : une soupe, un supo et au lit !
J’exagère un peu, mais pas tant.
Toutes les heures passées au-delà de 18h accumuleront de la fatigue qui pourrait être fatale pour votre mission. Plus vous vous couchez tard et plus vous serez fatigués le lendemain. Une grasse matinée pour bien continuer l’enquête !
Chaque point de fatigue décalera d’une heure la fin de votre repos…et évitez de dépasser le stade de 6h de veille ou ce sera la double peine.
Si vous avez des blessures, chacune décalera également la levée du camp d’une heure…
Bref, pour des aventuriers, nos personnages semblent avoir besoin de beaucoup, beaucoup de repos. Ce ne sont pourtant pas des hobbits.
Ils peuvent quand même se « sortir les doigts » en dépensant des jetons actions spéciales pour se lever une heure plus tôt par jetons dépensés…
Cette option ne nous a jamais parue viable, le résultat d’une action spéciale étant souvent bien plus intéressant en termes d’avancée de l’enquête.
Mortum, un jeu narratif
Depuis une dizaine d’années, on assiste à une tendance, forte. Celle des jeux de société narratifs. Mais au fond, qu’est-ce qui nous attire, nous passionne dans ce type de format, de catégorie, comme ici dans Mortum ?
Vous connaissez les jeux de société, mais les jeux narratifs sont un peu différents. Ils ont une structure narrative qui permet aux joueuses et joueurs de se sentir comme s’ils font partie d’une histoire plus grande, ce qui peut être vraiment captivant.
À l’instar de Mortum, les jeux de société narratifs offrent une variété d’expériences. Certains sont plus centrés sur l’histoire et la narration, tandis que d’autres se concentrent sur les choix et les conséquences. Certains sont compétitifs, tandis que d’autres sont coopératifs. Il faut bien le reconnaître, en 2023, avec tant de jeux de société sur le marché, et de jeux narratifs, il y a vraiment un jeu narratif pour tous les goûts et les styles de jeu.
Un aspect vraiment intéressant des jeux narratifs est que les joueureuses doivent opérer des choix difficiles. Ces choix peuvent être liés à l’histoire ou au personnage que le ou la joueuse incarne, et ils peuvent avoir des conséquences importantes sur l’histoire et les autres personnages. Cette prise de décision active et réfléchie peut être super captivante, poussant à réfléchir de manière critique et à s’engager dans le jeu de manière plus approfondie.
Un autre aspect vraiment passionnant des jeux de société narratifs est l’interaction sociale qu’ils encouragent. Jouer à un jeu narratif peut encourager les joueureuses à s’engager les uns avec les autres, à discuter des choix à faire et des actions des autres. Cela peut créer une expérience de jeu immersive et interactive, qui peut garder les gens engagés tout au long du jeu.
Lapalissade, l’une des raisons pour lesquelles les jeux de société narratifs sont si captivants est qu’ils racontent une histoire. Contrairement à d’autres jeux, les jeux narratifs ont une structure narrative qui peut guider les joueureuses tout au long du jeu, ce qui les fait se sentir immergés dans une histoire plus grande.
Les histoires que les jeux narratifs racontent peuvent aborder des thèmes importants tels que la justice, la moralité, l’amitié, l’amour et la perte. Les choix que les joueurs et joueuses doivent faire dans le cadre de ces histoires peuvent entraîner des conséquences importantes pour les personnages, offrant des opportunités d’explorer des dilemmes moraux et éthiques de manière sûre et ludique.
Les jeux de société narratifs encouragent également l’interaction sociale. Jouer à un jeu narratif peut inciter les joueurs à s’engager les uns avec les autres, à discuter des choix à faire et des actions des autres joueurs, ce qui peut créer une expérience de jeu immersive et interactive.
Les jeux narratifs offrent donc une manière ludique d’explorer des thèmes importants, tout en offrant un environnement sûr et un espace pour réfléchir et discuter des choix et des conséquences. Les joueureuses peuvent développer leur capacité à résoudre des problèmes de manière créative et à voir les problèmes sous différents angles, ce qui peut être utile dans leur vie réelle.
En outre, les jeux narratifs peuvent offrir une expérience de jeu plus profonde et plus significative, en nous faisant ressentir une connexion émotionnelle avec les personnages incarnés et les histoires. Les jeux narratifs offrent donc une manière ludique d’explorer des thèmes importants, tout en offrant une expérience de jeu immersive et émotionnelle pour les joueurs.
Ces jeux peuvent rappeler les célèbres « Livres dont vous êtes le héros » des années 1980, qui ont inspiré des millions de jeunes lecteurs et lectrices. Gallimard célébrera cette année le 40e anniversaire de la collection, toujours vivante et en constante évolution. Les jeux narratifs modernes utilisent des mécanismes similaires en permettant aux joueureuses de faire des choix qui influencent le déroulement de l’aventure.
Pour la plupart (mais de loin pas tous ! Coucou Le Secret de mon Père ou Familiar Tales), les jeux narratifs ne nécessitent pas beaucoup de règles et de matériel, ce qui permet aux joueuses et joueurs de se concentrer sur la prise de décisions et de vivre une expérience immersive.
Les frontières entre les jeux de rôle et les jeux de société s’estompent de plus en plus. Les jeux narratifs peuvent servir de porte d’entrée au jeu de rôle, mais l’inverse est également vrai. Les jeux narratifs permettent de se raconter une histoire dans un jeu accessible et simple à apprendre.
Il y a quelques jeux de société narratifs super populaires en ce moment, comme Cartaventura, Le Secret de mon Père et Alice is Missing, nommé pour l’As d’Or (mais c’est Challengers! qui a fini par remporter la palme dans sa catégorie).
Les jeux narratifs sont un peu différents, un peu, j’ai écrit, des jeux de société traditionnels, mais ils offrent une expérience de jeu vraiment unique et captivante. C’est le cas de Mortum.
Rapport d’enquête
Dans Mortum, lorsque le sablier arrive sur l’heure fatidique, il est temps de passer au rapport d’enquête. Et là, franchement, ce n’est pas juste l’instinct qui devra parler, contrairement à beaucoup de jeux du même genre.
En effet, rien que pour le premier scénario, il faudra répondre à 8 questions ayant chacune 6 propositions de réponses. Un QCM à… 48 entrée !
Son résultat vous donnera un certain nombre de points afin d’avoir une idée du résultat de vos investigations.
Si vous avez suffisamment de points, vous pouvez enchaîner l’aventure suivante. Dans le cas contraire, il vous est conseillé de refaire le scénario.
Une carte vous donne tout de même le fin fond de l’histoire que vous ne soyez pas dans le noir ( voir clair-obscur ).
Mortum, verdict
Tout comme Détective ou Dune : House Secrets, on est dans un jeu d’enquête narratif où nos choix seront décisifs pour la résolution. L’histoire se déroule devant nous mais nous pouvons décider quelle direction elle doit prendre. Dans une certaine mesure bien sûr.
Tout comme Détective ou Dune : House Secrets, la gestion du temps sera primordiale. On fait ou on ne fait pas ? Combien de temps nous reste-t-il et combien de pistes avons-nous encore à disposition ?
Contrairement à Détective ou Dune : House Secrets, pas d’application ici. Tout est sur du bon vieux papier en bois d’arbres et on peut y accéder sans portable, ordi ou connexion.
Contrairement à Détective ou Dune : House Secrets, il y a beaucoup de pistes qui s’ouvrent à nous. Et peu de temps pour tout explorer.
Je donnerai donc volontiers à Mortum une durée de vie plus longue que ce type de jeu habituellement.
Perso, je compte refaire les trois scénarios en empruntant des voies différentes afin de tenter de faire mieux, mais surtout d’en apprendre plus sur la globalité de cette mini campagne.
Dans cette optique, je n’ai pas désiré lire les cartes d’explications finales afin de me laisser plus de ( re ) découverte de l’histoire. Même si les grandes lignes sont forcément mises au jour.
Il y a forcément une dimension linéaire à prendre en compte dans le déroulement de l’histoire. Nous ne l’avons toutefois pas trouvé gênant. Un bon moment partagé sur un total de 8 à 9h environ. Les second et troisième épisodes étant beaucoup plus longs que le premier.
Finalement, je dois le relever, Mortum est un très bon jeu pour les fans de ce type d’incursion ludique.
Le côté dark fantasy ajoute une tonalité sombre qui n’est pas pour me déplaire.
Un petit côté « jeux de rôle » également, saveur Nightprowler pour les vieux rôlistes (comme moi).
Beaucoup de raisons d’en profiter donc !
Très bon !
- Date de sortie : Août 2022
- Langue : Française
- Assemblé en : Chine
- ITHEM : 5 sur 5. Pour en savoir plus sur l’ITHEM dans les jeux de société, c’est ici.
- IGUS : 5 sur 5. Pour en savoir plus sur l’IGUS dans les jeux de société, c’est ici.
- EcoScore : C. Si vous voulez en savoir plus sur l’EcoScore dans les jeux de société, c’est ici
- Création : Sergey Minevich
- Édition : Origames
- Nombre de joueurs et joueuses : 1 à 4 ( tourne très bien à 2- 3 )
- Âge conseillé : Dès 14 ans ( on peut attaquer à partir de 12 ans, vu la simplicité du système )
- Durée : 120 – 180 minutes ( plus court pour le premier scénario ou les épisodes si joués en solo )
- Thème : Dark Fantasy
- Mécaniques principales : Coopératif, narratif, enquête, legacy, temps limité. Pour en savoir plus sur les différentes mécaniques de jeux, c’est ici.
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Article écrit par Chab. Rôliste devenu platoïste par manque de temps. Pâtissier initié et fan de Robbie Williams. Patriarche de cœur d’un troupeau de gremlins. Aime qu’un jeu lui raconte une histoire.

