Critiques de jeux,  Jeux de plateau

Crystal Palace. Un jeu bohème (Pandemic of Dunshire Edition )

Crystal Palace, de quoi ça parle ?

Le pitch : « Dans Crystal Palace, chaque joueur représente une nation lors de la première Exposition Universelle, en 1851 à Londres. Pour faire en sorte que votre pays devienne le centre de l’attention, vous avez préparé une présentation d’inventions spectaculaires, et recruté les esprits les plus brillants et influents de votre époque : tout est prêt pour mettre en avant votre terre natale. Des salles sacrées de Westminster aux sombres recoins des docks, vous avez tiré les ficelles pour organiser au mieux ce grand événement. Et c’eût été très facile, si votre gouvernement vous avait octroyé des moyens illimités. Au lieu de cela, vous êtes constamment déchirés entre investissements prudents et prêts excessifs. Mais si vous faites les meilleurs choix pour cette Exposition Universelle, votre nation se couvrira de gloire au Crystal Palace.« 

Crystal Palace parle donc de l’exposition universelle qui s’est déroulée pendant six mois à Londres en 1851 à Hyde Park. Pour l’occasion un gigantesque bâtiment fut érigé en un temps record pour accueillir les pays et leurs stands. L’ouvrage étant de verre et d’acier, il fut donc nommé en toute logique le Palais de… Cristal. D’où le nom du jeu

Crytal Palace le jeu de plateau essaie de ménager la chèvre et le chou, de placer divers éléments historiques, ingénieries / prototypes, personnages, lieux réels. On est quand même ici dans un jeu très, très mécanique qui fonctionne à coups de dés. Au final, Crystal Palace atteint un 3/5 sur l’ITHEM, max

Et comment on joue ?

Crystal Palace repose sur une mécanique de dés plutôt classique, matinée de placement d’ouvriers. De dés, ici. En début de manche, on commence par lancer (pas vraiment. Lisez plus bas, on vous en reparle) ses dés, puis on les place dans les divers lieux disponibles de Londres pour les activer. Certains lieux donnent des cartes, des ressources ou font avancer ses pions sur différentes pistes

Voilà, c’est tout

Sachant que certains lieux ne disposent que d’un nombre restreint d’emplacements, donc il va falloir se ruer dessus. Sachant également que les emplacements indiquent certaines valeurs minimum de dés, donc ne pourra pas placer n’importe quel dé n’importe où. Sachant encore, enfin, que les dés de valeurs supérieures commencent toujours de jouer par lieux

Une fois la mécanique de base bien comprise : dés, lieux, c’est là que les ennuis commencent ! Le jeu est en effet truffé de picto divers et variés. Mais vraiment. Pour comprendre les effets, les actions de tous les lieux ont passe sa première partie le nez dans les règles à devoir tout vérifier. Et pire encore, de nouveaux éléments, cartes, jetons, font leur apparition au fil de la partie, et avec cette irruption, ce flux constant de nouveaux picto, on se trouve bientôt noyés !

Sans parler des pistes de tous les côtés. Et il y en a un paquet : piste des salaires (pour payer ses ingénieurs, exposants, scientifiques = cartes obtenues), piste de buzz (quand on réussit à faire parler de son stand), piste sur le marché noir (pour obtenir des bonus), piste d’objectifs sur son plateau perso (pour débloquer des objectifs et recevoir des points supplémentaires en fin de partie), piste de média / journal (pour échanger contre des ressources), et je m’arrête ici parce que ça commence à devenir relou comme paragraphe et que vous avez certainement déjà décroché votre lecture après la troisième phrase. Et oui, il y en a encore d’autres, des pistes… Au point de filer le tournis et une sacrée nausée 🤢

Il y a des dés. Il y a du hasard ?

En fait, non, pas du tout

Parce qu’en réalité, non, on ne lance pas les dés en tout début de manche. C’est d’ailleurs l’un des rares jeux de société dans lequel on ne lance jamais, jamais les dés. On choisit les valeurs soi-même. Dingue. Mais alors, tout le monde choisit des six ? Oui. Ou pas

Parce qu’il va falloir payer pour la somme totale de ses dés. Et que l’argent se fait extrêmement rare dans Crystal Palace. Donc faire son malinou à se la péter en mode thug-life avec des six partout peut devenir extrêmement compliqué. Oubliez ça :

Pensez plutôt à ça :

On va plutôt se choisir des tous petits dés pour ne pas devoir raquer. Rien que pour rigoler, et économiser, hashtag radin, un tour j’ai essayé de ne choisir que des 1. Et oui, c’est aussi possible. C’est moins fun, c’est plus chaud, mais ça coûte nettement moins cher !

Et comment on gagne ?

On gagne des points au fil de la partie en construisant des prototypes que l’on va pouvoir montrer lors de l’expo en 1851, et en engageant des ingénieurs pour pouvoir les montrer lors de l’expo en 1851, également. Le tout sous forme de cartes à « construire », comprenez par-là en utilisant certaines ressources, rouages, énergie ou argent. Ces cartes filent des points qui nous font avancer sur une piste de score

Voilà, c’est tout

C’est tout ?

Oh non. En fin de partie, on gagne encore des points pour son objectif personnel sur son plateau perso, pour autant qu’on l’ait débloqué sur la piste (!) correspondante, et également pour son avancée sur la piste de buzz selon sa position par rapport aux autres, et d’autres bricoles

Et puis, surtout, surtout, on perd des palettes de points pour tous les emplacements de recherche non-recouverts pendant la partie. Car oui, si on n’a rien fait pendant la partie et qu’on s’est tiré les flûtes, qu’on n’a pas cherché à faire… de la recherche, on se tape la tehon pendant l’expo. D’où les points négatifs

Et ce n’est pas tout. On perd également des points si on a mal géré son argent. Parce que oui, pendant la partie, comme dans (l’excellentissime) Le Havre et d’autres jeux, on peut obtenir des prêts. Prêts que l’on va pouvoir plus ou moins rembourser, et qui vont nous faire perdre encore plus de PV

Bref. Beaucoup, beaucoup de manières de gagner et de perdre des points. Tellement, que Crystal Palace devient juste impossible à contrôler. On gagne par-ci, par-là, on perd ici et là

À la toute fin de la partie, après cinq manches, on serre les fesses pour que ça passe, pour que ça tienne, pour tenter de mener au score. Même si on avance son pion sur une piste (encore une ??? 😱) de points et qu’on voit tout au long de la partie qui est devant, ou pas, en toute fin de partie c’est en mode salade de points de victoire façon œufs 🥚 brouillés qu’on s’envole, ou pas, sur la piste

Interaction ?

Sur l’IGUS, l’échelle de mesure de l’interaction dans les jeux, Crystal Palace atteint un 3/5

Pourquoi ?

Parce que dans Crystal Palace, en plus de la course via la piste de points visibles, il y a encore la possibilité de chouraver des tuiles, des cartes que les autres pourraient convoiter. Mais pas. Il y a encore des questions de majorité. Mais pas que. On peut s’amuser à construire, placer des cartes et filer leurs avantages aux autres. Sauf que parfois, ces avantages peuvent devenir compliquées, voire désastreuses selon ses finances. Alors autant les balancer aux autres pour les enquiquiner

Au final, pas une interaction de ouf, on joue quand même dans son coin le nez sur ces dés et six 617 pistes à tenter de garder la tête hors de l’eau avec tous ces picto, toutes ces règles

À combien y jouer ?

Le jeu est prévu de 2 à 5, avec de sérieuses adaptations selon la configuration. Plus on est à la table et plus il y a d’emplacements dispo sur les lieux. Et vice versa. Logique

Sauf que

Le jeu est tellement riche et complexe, qu’à 5 le jeu s’enlise et devient indigeste à un point rarement atteint. Où placer quel dé quand et pourquoi ? En termes d’attente, à 4 c’est déjà limite-limite, mais à 5 Crystal Palace devient imbuvable ! À éviter comme la peste le coronavirus

À partir de quel âge y jouer ?

Crystal Palace indique 14 ans. Oubliez d’y jouer à moins tellement il y a de trucs, de machins à gérer, de picto à comprendre

Alors, Crystal Palace, c’est bien ?

Non, mais vraiment pas

En fait, le jeu est tellement riche, complexe, qu’il en devient touffu. Mais pas un… bon touffu. Un touffu foutraque. Un touffu indigeste. Un touffu qui fout un foutu mal de crâne au point de vouloir jeter le jeu et de passer à autre chose, comme la marelle ou une balade dans un pré. Un truc simple

Le jeu est truffé de picto, de pistes, de moyens de gagner des points, de faire des trucs, des machins de tous les côtés. Il faut déjà se préparer à passer ses 1-2 premières parties le nez dans les règles pour tout vérifier. C’est peu fluide, peu appétissant, peu excitant

En fait, lors de chaque partie de Crystal Palace, j’ai vraiment, vraiment, vraiment l’impression de jouer à Risky Settlers: Knights and Allies of the Lords of the dominion of earth (Pandemic Edition) !

Avec un mélange des Cones of Dunshire

Bref, un jeu over-compliqué avec des trucs, des machins qui alourdissent la partie mais surtout, qui enlève tout fun de la partie. Less, is more, comme on dit en (game)design. Dans Crystal Palace, c’est clairement more, is less

Et autre chose. Si on passe sa partie à être frustré de ne jamais avoir le nombre de ressources nécessaires, haaaaa, la frustration, cette émotion numéro 1 dans tout gros jeu de gestion qui se respecte, notamment l’argent, le nerf de la guerre dans Crystal Palace. On finit toujours fauché (le fameux bond de -3 sur la piste des revenus en fin de manche 😡), mais en même temps, on n’est jamais bloqué, on a toujours la possibilité de réaliser une action. Au pire du pire du pire, on se mange un prêt. On peut donc toujours faire quelque chose. C’est bien ? En fait, c’est plutôt étrange. Mais pas un bon « étrange ». Pas comme de recevoir une rose par une inconnue alors qu’on est au beau milieu du lac de Genève en train de faire du paddle. Ça, c’est étrange. Mais c’est un bon « étrange ». Dans Crystal Palace, on navigue entre blocage et opportunités. Du coup, c’est une sensation étrange. Étrange. Mais pas un bon « étrange ». Plutôt un « étrange » qui dérange

Et enfin, ce qui nous a beaucoup, beaucoup déplu dans le jeu, c’est que Crystal Palace est un gros jeu, avec au final très peu de hasard, hormis dans la pioche des cartes « prototypes » et « ingénieurs ». Mais qu’on passe sa satanée partie à se faire piquer tel emplacement, telle carte. Au final, le jeu en devient extrêmement tactique et opportuniste. Et ce côté « fais comme tu peux » finit par se révéler contradictoire avec un jeu d’une telle richesse, d’une telle ampleur. Serrer les dents et les fesses sur un jeu Familial+, ++ de 30-45′, OK, mais sur un tel gros jeu exigeant, non, juste NON

🔴 Crystal Palace, score final : 2/5

Ce qui nous a plu ❤️️

✅ Aucun hasard, ou très peu, et ceci malgré l’utilisation de dés

✅ Les dés, justement, qu’on choisit, qu’on programme en début de manche

✅ Un jeu d’une richesse incroyable, avec tellement de possibilités

✅ Un jeu qui fait couiner parce qu’on ne cesse de toujours se faire piquer un truc : un emplacement, une tuile, une carte. Et ça, c’est fun (surtout quand ce sont les autres qui couinent !)

✅ Une courbe de progression plutôt riche. Plus on y joue et plus on commence à saisir les enjeux, les possibilités

✅ Les cartes « prototypes » qu’on récupère en phase trois et qu’on doit construire plus tard, mais dans la même manche. De quoi essayer de planifier

Ce qui nous a moins plu ⛔️

❌ Une mise en place du jeu longue et fastidieuse : séparer les tuiles en fonction de leurs couleurs, mettre ses jetons par-ci, par-là, etc. Laborieux

❌ Un jeu très, trop tactique et opportuniste. En contradiction avec son amplitude

❌ Des parties à 5 qui poussent au suicide tellement elles sont longues, lentes et pénibles. Vous voulez vous venger de votre boss qui vous refuse une augmentation ? Proposez-lui une « petite » partie de Crystal Palace à 5. Vous aurez ainsi votre vengeance (mais vous allez aussi morfler en même temps…)

❌ Difficile d’élaborer des combos prototypes & ingénieurs. Les cartes ne sortent pas toujours, avec le risque de se les faire piquer avant. Rageant

❌ Au final, un jeu vraiment, vraiment pas plaisant ni agréable à jouer. Envie de passer, de jouer à autre chose, et vite ! Ou juste re-re-regarder les deux vidéos ci-dessus à la place. C’est pareil, avec l’humour en plus

Et encore une chose

Vous pouvez trouver Crytal Palace en français chez Philibert ici

Et si vous habitez en Suisse, chez Helvétia Games shop ici.

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  • Date de sortie : Automne 2019
  • Langue : Française
  • Assemblé en : Pologne (plutôt surprenant pour un jeu Super Meeple. Mais en même temps, le jeu est allemand à la base, sorti chez Feuerland. Et que les jeux allemands sont pour la majorité assemblés en Europe)
  • Ecoscore : A. Pour en savoir plus sur l’EcoScore dans les jeux de société, c’est ici
  • Auteur : Carsten Lauber
  • Illustrateur : Andrea Alemanno
  • Éditeur : Super Meeple pour la VF
  • Nombre de joueurs et joueuses : 2 à 5 (mais comptez plutôt 2 à 4. À éviter à 5)
  • Âge conseillé : Dès 14 ans (jamais moins !)
  • Durée : 2 à 3h (ou 17 à 5)
  • Thème : Histoire. Exposition Universelle de Londres de 1851
  • Mécaniques principales : Dés, placement d’ouvriers, programmation, majorité
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12 Comments

  • benben

    Moi pour ma part j’ai vraiment vraiment trouvé ça bon. 4 parties à mon actif. Le jeu est ultra exigeant, on en ressort vidé, épuisé. Le cerveau fume dans tout les sens.
    Un must :
    – Si vous aimez les jeux exigeant avec le cerveau qui fume grave pour savoir si on met le dé à 4 ou à 5.
    – Si vous aimez les jeux de gestion avec une forte interaction et la possibilité de bien faire couiner
    – Si vous voulez un gros jeu de gestion qui se joue à 5 (chose assez rare)
    – Si vous voulez un jeu vraiment plaisant et agréable à jouer ou entre vos tours vous pouvez cogiter au lieu d’attendre les autres.
    – Si le thème passe au second plan. Quoique j’ai vu pire. Là il y a un effort avec des inventions rigolote etc..

    Les règles ne sont pas compliqué mais effectivement assez longue. Je dirai en dessous de maracaibo/Great Western mais au dessus de Terraforming/Lorenzo. allez on va dire niveau Terra mystica/Underwater.
    Le jeu est long et donc très long à 5 mais reste au final très fluide : a son tour on pose un dé.

    En point négatifs
    – L’ordre du tour. Le coup du premier joueur est bien vu mais ensuite on suit le sens horaire plutot que d’appliquer la même logique. Dommage car on peut tenter de se pénaliser en jouer des petits dés et se retrouver dernier.
    – Les combos de cartes. Ce n’est pas ce qui fait gagner mais avoir 2 cartes qui qui chainent rapporte 4 Pv. Toutes les cartes ne sont pas joués et on a pas la certitude de pouvoir chainer…

    Gros jeu de gestion qui mérite bien son diamant d’or.

  • Charles Amir PERRET - SUPER MEEPLE

    Quelle critique ! On dirait que vous en voulez presque au jeu et que vous avez vraiment souffert ! 😀
    La critique est très surprenante vraiment car pour avoir vu toutes les critiques à peu près dans toutes les langues de ce jeu, je n’ai jamais rien lu de pareil.
    Ce que vous mettez en point fort, c’est peut-être justement ce qui a le plus déplu à certaines personnes à savoir … un peu de hasard ! Dans les prêts et dans les combos des cartes. Ce que vous mettez en point faible, la complexité ? vraiment ? c’est un jeu pour gamers avec certes beaucoup d’icônes mais vraiment pas plus que les autres jeux de sa catégorie et c’est fluide ! Et pourtant vous semblez apprécier Lacerda ?! La note de complexité du jeu d’ailleurs sur BGG donnée par les joueurs est celle d’un jeu gamer raisonnable.
    Et l’interaction, vous dites qu’elle est moyennement présente et pourtant on peut se venger en pourrissant quelqu’un ?! Et c’est cette interaction, rare dans un jeu gamer, qui en fait notamment l’intérêt.
    Vos articles sont toujours intéressants, dans tous les cas 🙂 Je peux très bien comprendre qu’on n’accroche pas au jeu, évidemment, mais ce sont les défauts / qualités pointés qui m’échappent 🙂

    • Gus

      Non non je n’en veux pas au jeu. Mais chez nous, gros flop. Aucun plaisir. Trop touffu, trop confus, et surtout, ce gros mélange de tactique opportuniste avec un jeu d’une telle ampleur a été le point principal de discorde pour nous

      Pour l’interaction, 3/5 c’est déjà pas mal, on est loin d’un 5/5 dans lequel soit on coopère ou communique, soit on balance des tartanes. Clairement pas le cas ici où on passe le nez à surveiller sa popote (et ses 617 pistes 😱)

  • GeekLette

    euh … c’est marqué que vous lancez les dés en début de manche dans votre article
    sauf qu’on ne lance pas les dés, on choisit leur valeur, du coup j’ai arrêté là ma lecture de l’article puisque vous n’avez pas joué avec les bonnes règles, ce qui arrive. 🙂

    Et côté interaction (j’ai lu votre commentaire à Charles), franchement on peut difficilement faire mieux. Car donner l’effet d’une carte à un joueur qui doit perdre 2 sous alors qu’il ne les a pas, ça c’est des tartanes 🙂 et on y prend un malin plaisir dans ce jeu.

    Après les goûts et les couleurs 🙂

    • Phane750

      ouais, je sais ça fait bizarre un critique de jeu qui dit publiquement qd il aime pas un jeu et qui en plus assume sa position derrière quand ça suscite des retours (qui fait son job, quoi)… mais du coup, ça donne aussi de la valeur à ses critiques positives… qu’on soit d’accord ou pas avec lui, d’ailleurs… ptet qu’il faudrait essayer 😉

  • Yunnan

    le football est un sport qui se joue à 15 sur un échiquier et les blancs commencent. ah ben tiens plus personne n’a continué à lire l’article? c’est dommage trois paragraphes plus loin j’expliquais les vraies règles.

    • Gus

      Hahahaha j’adore

      Exactement

      Comme quoi, faut vraiment lire un article en entier et pas arrêter après 2 lignes sinon on ne comprend rien

      Bien joué ! Merci pour votre intervention !

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