
Rear Window : Fenêtre sur lourd
Jouez les voyeurs avec Rear Window, l’adaptation du film Fenêtre sur Cour. Un mélange entre Obscurio, Mysterium et Mastermind.
Rear Window
⚠️ Avertissement : Dans le cadre de notre démarche de transparence, nous tenons à vous informer que nous n’avons pas reçu ce jeu. Nous l’avons acheté ou emprunté nous-mêmes et nous vous partageons ici notre expérience sans filtre. Nous vous indiquons les points positifs et négatifs du jeu selon de nos attentes, critères et expériences.
Dans toute la filmographie d’Alfred Hitchcock, sur une soixantaine de films réalisés entre 1925 et 1976, sur plus de 50 ans de carrière, il y a certains films qui se démarquent. « Psychose », « Les Oiseaux », « L’Homme qui en savait trop », « La Main au Collet », et ce « Rear Window », ou « Fenêtre sur Cour », en français.
Avec sa sortie en 1954 il y a bientôt 70 ans, « Fenêtre sur cour », Ou « Rear Window » en VO est un film qui a résisté à l’épreuve du temps. Alfred Hitchcock a fait un excellent travail en créant une ambiance de suspense tout au long du film. J’ai toujours été impressionné par la façon dont il a utilisé la caméra pour nous faire sentir comme si nous étions dans l’appartement avec James Stewart, regardant par la fenêtre et essayant de résoudre le mystère qui plane dans l’appart d’en face.
Et parlant de James Stewart, il est tout simplement incroyable dans ce rôle de photographe cloué sur son fauteuil avec une jambe cassée à la suite d’un accident. Il incarne parfaitement le personnage de Jeff, qui est à la fois intrigué et obsédé par ce qu’il voit par la fenêtre. Et Grace Kelly est également formidable dans son rôle de Lisa, la petite amie de Jeff.
Je pense que ce qui rend ce film si spécial, c’est la manière dont il parvient à maintenir une tension constante tout au long de l’histoire, tout en nous offrant des moments de détente et de romance entre les personnages. C’est vraiment un film classique qui mérite d’être vu et revu, encore et encore !
Le film aborde de nombreux thèmes omniprésents dans la filmographie du réalisateur : crime, suspicion, noirceur de l’âme, angoisse. Tout un programme.
Et l’adaptation du film en jeu de plateau vient tout juste de sortir en VO chez Funko. Nous y avons joué. Voici ce que nous en avons pensé.
Observation
Qui d’autre pour signer cette adaptation que Prospero Hall. Prospero Hall, c’est ce collectif d’auteurs américains qui s’est fait une spécialité des adaptations de films en jeux de plateau. Ils en ont sorti une centaine déjà. The Shining, Fast & Furious, Les Dents de la Mer, Jurassic World: The Legacy of Isla Nublar, Horrified…
Rear Window, le jeu de plateau, est un jeu coopératif de… déduction et d’observation, bien sûr. Comme le film.
Vous vous retrouvez dans un appart, confiné bloqué, vous observez les événements, les agissements, les indices dans ceux d’en face. Est-ce qu’un meurtre vient de s’y dérouler ? Ou pas ? À vous de jouer les voyeurs malsains enquêteurs chevronnés.
Pour faire simple, Rear Window est un mélange entre Obscurio / Myserium et le Mastermind. Une personne incarne le réalisateur, Hithcock lui-même, avec la solution, la résolution de l’affaire cachées derrière son écran, et les autres, les « Watchers », les observateurs et observatrices en face.
Et comme Mysterium, si Rear Window est coopératif, on est plutôt en mode semi-coop. Une personne sait, le réalisateur, aka Hitchcock, et les autres, les personnages, qui font les voyeurs observent les apparts en face.
Rear Window, comment on joue ?
On commence par placer sur la table le premier plateau du premier jour, vide, avec 8 fenêtres, 2 par appartement. Le réalisateur pioche 4 attributs, caractéristiques des 4 voisins d’en face, ainsi que 4 voisins. Il place ces 8 éléments sur son plateau personnel à l’abri des regards. Le réalisateur pioche ensuite 8 cartes. Le jeu peut commencer.
Le réalisateur place alors ses cartes, une par une, sur les 8 emplacements, pour fournir des indices aux « Watchers ». Une fois les cartes placées, les autres doivent tenter de retrouver, placer les bons voisins et les bons attributs sur les emplacements, les fenêtres correspondantes. Tout ceci grâce aux cartes, aux indices fournis.
Oui, donc encore une fois Rear Window est un mélange entre Obscurio et Mysterium. Un ou une MJ, et les autres en face qui doivent trouver.
À cela s’ajoute une couche de Mastermind. Car une fois la proposition faite par les Watchers, le réalisateur place alors un cube pour indiquer le nombre de réponses correctes, entre 0 et 8, donc. Si c’est 8, la victoire de toute la table est instantanée. Grâce aux informations du réalisateur, on a pu résoudre l’affaire.
On déroule ensuite le plateau du deuxième jour, et on recommence. On continue ainsi pendant quatre jours, quatre tours. Le but étant toujours d’atteindre le maximum, 8 réponses correctes. Sinon la partie est pliée à l’issue des quatre manches. Avec, comme Mastermind, la possibilité d’utiliser les précédentes informations reçus pour affiner ses prochaines suppositions, déductions.
Rear Window propose des règles simples et fluides. Et bien rédigées !
Avec la petite subtilité de pouvoir utiliser, invoquer différents personnages du film pour leur pouvoir. Révéler ceci, dire cela. À usage unique pour toute la partie.
Minute, papillon
Mais attention. Si au moment de la préparation le réalisateur pioche un attribut Meurtre, le jeu change du tout au tout. Le but du réalisateur va être d’empêcher les autres de trouver les bonnes réponses. Et vice versa. Les autres devront de plus non seulement obtenir 7 ou 8 bonnes réponses, mais trouver où le meurtre a eu lieu. Rear Window se transforme alors en pur semi-coop, une personne contre les autres.
Sauf que ça, on ne le sait jamais vraiment tout au long de la partie. Est-ce que le réal bluffe et tente de donner des fausses pistes, ou est-il juste… nul à fournir des indices ? Cette tension, suspicion constantes épicent le jeu. On ne sait jamais, mais on doute toujours.
Mais au fond, comment (bien) adapter un film en jeu de société ?
Les jeux de société et les films ont beaucoup en commun : ce sont deux formes de divertissement qui peuvent nous transporter dans des mondes différents et raconter des récits passionnantes. Il n’est pas étonnant que tant de réalisateurs et d’auteurs et autrices de jeux se soient inspirés les uns des autres ! Ces dernières années, nous avons assisté à une recrudescence des adaptations de films en jeux de société, avec des jeux comme Les Dents de la mer, The Goonies et The Shining sont arrivés sur les étagères de nos boutiques spé préférées. Sans parler des moult adaptations Star Wars… (coucou Shatterpoint).
Mais adapter un film en jeu de société est plus facile à dire qu’à faire. Les défis sont nombreux, qu’il s’agisse de rester fidèle au matériau d’origine ou de créer un jeu à la fois amusant et passionnant.
Pourquoi adapter des films en jeux de société ?
Imaginez ceci : vous êtes un ou une fan inconditionnelle d’un film qui vous a marqué, vous avez adoré l’histoire, les personnages, l’intrigue et les thèmes abordés. Mais vous voulez quelque chose de plus – vous voulez vivre cette expérience de manière interactive, et vous voulez plonger dans l’univers du film de manière encore plus profonde. Et c’est exactement le cas avec les adaptations de films en jeux de société.
En créant une adaptation réussie d’un film en jeu de société, les auteurs et autrices de jeux peuvent exploiter une base de fans existante et susciter l’intérêt de personnes qui aiment déjà le matériel source. Ils et elles peuvent également explorer de nouveaux aspects de l’histoire, combler des lacunes, introduire de nouveaux personnages et intrigues, ou simplement raconter l’histoire d’une manière nouvelle et captivante.
Mais ce n’est pas seulement bénéfique pour les fans – c’est également un excellent moyen pour les maisons de prod de générer des revenus supplémentaires et de toucher un public plus large en revendant leur licence. Et cela peut également diversifier le marché des jeux de société, en amenant de nouveaux publics de joueureuses dans le monde des jeux de société et en élargissant l’éventail des thèmes et des mécanismes disponibles.
Les défis de l’adaptation de films en jeux de société
Bien sûr, l’adaptation d’un film en jeu de société comporte des défis. Imaginez : vous êtes fan du film « Rear Window », vous avez été captivé par son intrigue, sa tension et son suspense. Vous êtes excité à l’idée de découvrir comment ce film culte a été adapté en jeu de société. Mais vous vous demandez peut-être comment les auteurs et autrices de jeux ont pu raconter une histoire aussi captivante à travers des mécanismes de jeu (ce qui n’est pas le cas ici, pour être tout à fait honnête avec vous).
Eh bien, il est vrai que la narration d’un film ne se traduit pas toujours directement en jeu de société. Dans Rear Window, la cible n’est clairement pas atteinte. Le jeu ne parle pas vraiment du film. Un peu, mais trop… peu.
Mais ce n’est pas tout. Pour bien adapter, transposer un film (ou toute autre œuvre, en vrai) en jeu de société – les auteurs et autrices de jeux doivent maintenir la fraîcheur et l’intérêt du jeu tout en restant fidèles au matériau d’origine. C’est un équilibre délicat à trouver, mais lorsqu’il est fait correctement, cela peut créer une expérience de jeu vraiment mémorable.
Et bien sûr, il y a les attentes du public. Les fans du film (ou toute autre œuvre, en vrai) peuvent avoir des attentes élevées quant à l’adaptation du jeu de société – ils veulent que le jeu capture l’essence du film et recrée cette même tension et ce suspense captivants. Les auteurs et autrices de jeux doivent donc tenir compte de ces attentes, tout en apportant leur propre touche créative au jeu.
En fin de compte, la réussite d’une adaptation de film en jeu de société dépend de la capacité des auteurs et autrices de jeux à trouver un équilibre entre les mécaniques de jeu et le thème du film, à maintenir la fraîcheur et l’intérêt du jeu, et à répondre aux attentes des fans du film. C’est un défi, mais lorsqu’il est relevé avec succès, cela peut créer une expérience de jeu incroyablement immersive et mémorable. Ce qui n’est clairement pas le cas ici avec Rear Window, mais j’y reviendrai plus.
Stratégies pour une adaptation réussie
Alors comment créer une adaptation réussie d’un jeu de société ? Voici quelques idées, conseils, stratégies clés :
- Rester fidèle au matériel source : Une adaptation réussie doit capturer l’esprit du film, des personnages aux thèmes. Ne pas être obligé de suivre l’intrigue à la lettre, mais rester fidèle au matériau d’origine.
- Créer une jouabilité attrayante : Un grand jeu de société doit être amusant et passionnant, avec des mécanismes faciles à apprendre mais difficiles à maîtriser. Réfléchir au type de mécanismes qui fonctionneraient bien avec le thème et l’histoire du film, et à la façon dont les intégrer au jeu d’une manière qui soit à la fois stimulante et agréable.
- Tenir compte de son public : Un jeu de société doit être adapté à son public cible. Penser à la tranche d’âge, aux intérêts et au niveau de compétence des joueurs que viser, et créer un jeu qui leur plaira. Par exemple, un jeu basé sur un film pour enfants aura des mécanismes plus simples et un niveau de difficulté plus faible qu’un jeu basé sur un film d’action.
- Trouver un équilibre entre simplicité et complexité : Un grand jeu de société doit être accessible aux nouveaux publics tout en stimulant les joueureuses expérimentées. Trouver un équilibre entre simplicité et complexité, en rendant le jeu suffisamment facile à apprendre mais suffisamment profond pour que les joueureuses en redemandent.
Vous aimez les adaptations de films en jeux de société ? Vous aimez les jeux (semi) coopératifs ? Vous aimez les jeux de déduction, de déduction d’images à la Mysterium et Dixit, avec un soupçon de Mastermind ? Ne cherchez plus. Rear Window est le jeu qu’il vous faut et vous allez vous éclater !
Ou pas
Alors, par où commencer. Je dois vous dire qu’on a rencontré quelques (petits) soucis lors de nos parties de Rear Window. Mais quand je dis « petits », je suis gentille, parce que ces problèmes ont carrément gâché notre plaisir de jouer. En vrai, on a eu l’impression de perdre notre temps, ce qui est loin d’être l’objectif quand on se met à jouer à un jeu.
Il y a tellement de bons, de meilleurs jeux sur le marché de nos jours. Des jeux qui valent vraiment la peine d’être joués, contrairement à Rear Window.
Choix (très) limité
Le choix des cartes est, disons… (très) limité. Huit cartes pour huit emplacements, ça peut sembler pas mal, mais en fait, c’est un peu la galère. Certaines cartes sont évidentes à placer, mais plus on avance dans la partie, plus ça devient tarabiscoté et compliqué.
Je fois l’avouer, gagner à Rear Window, ensemble, en mode coopératif, est très, très compliqué. Sauf quand on campe Hitchcock et qu’on essaie de camoufler un meurtre, en mode semi-coop. Dans ce cas, c’est tout à fait possible de remporter la partie, en noyant (encore plus) le poisson. Sinon, on passe la partie à poser des cartes au petit bonheur la chance avec le risque de faire du grand n’importe quoi. Bonne chance pour déduire des images à partir de là ! Rear Window finit par devenir très, très approximatif.
Des cartes… moches
« Beauty is in the eye of the beholder. » La beauté est dans l’œil de la personne qui regarde (c’est le cas de le dire dans Rear Window). Cette expression souligne la diversité et la richesse de nos perceptions. Elle nous rappelle que nous avons tous une vision unique du monde et que chacun de nous peut trouver la beauté dans des choses différentes. Elle nous invite à célébrer nos différences et à apprécier la beauté qui nous entoure, même si elle ne correspond pas à une norme préétablie. En fin de compte, c’est la diversité de nos points de vue qui rend le monde plus coloré et plus intéressant ! Soit.
Et puis, il y a ces cartes… franchement, elles ne sont pas très jolies. Je sais, je sais, « la beauté est dans l’œil de celui qui regarde », tout ça. Cette expression souligne la diversité et la richesse de nos perceptions. Elle nous rappelle que nous avons tous une vision unique du monde et que chacun de nous peut trouver la beauté dans des choses différentes. Elle nous invite à célébrer nos différences et à apprécier la beauté qui nous entoure, même si elle ne correspond pas à une norme préétablie. En fin de compte, c’est la diversité de nos points de vue qui rend le monde plus coloré et plus intéressant ! Soit
Mais là, on dirait qu’elles ont été dessinées par un enfant de 8 ans (et je m’excuse auprès des enfants de 8 ans). En fait, l’ensemble du jeu est aussi laid qu’un épisode de « L’Île de la tentation » en noir et blanc. C’est dommage, parce que ça gâche vraiment le plaisir de jouer.
Les indices sont vagues, approximatifs, et les couleurs sont sombres ternes, rien qui ne donne très envie d’y (re)(re)(re)jouer. Une direction artistique assumée, en mode Dany, OK, pourquoi pas. Mais dans Rear Window, rarement des illustrations de jeu n’auront été aussi laides ! Ce qui finit, en tout cas pour notre groupe, de gâcher sérieusement le plaisir du jeu.
Mastermou
Enfin, Rear Window est basé sur une mécanique qui rappelle un peu Mastermind. Mais en moins bien. Le réalisateur ne te dit qu’à peu près combien de bonnes réponses tu as. Tu ne sais pas lesquelles sont bonnes, lesquelles sont mauvaises, lesquelles sont bien placées… C’est un peu comme tâtonner dans le noir, sans aucune indication. Et si tu as le malheur de douter ou de soupçonner un peu trop, tu perds ton tour, tu perds ton temps.
Il devient donc extrêmement difficile de se fier à cette information et de l’exploiter. On tâtonne. On change ceci, cela, pour essayer, puis soudain la partie s’achève. D’autant que le doute, la suspicion plane. Meurtre, et donc bluff, ou pas ?
D’ailleurs, en parlant de Mastermind, est-ce que vous en connaissez l’histoire, insolite ?
Rear Window, verdict
Finalement, je dois avouer que Rear Window est un jeu qui présente un bon nombre de défauts. Entre la limitation des choix de cartes et la difficulté de la déduction, il y a peu de place pour le plaisir de jouer. Je dois l’avouer, j’ai été plutôt déçue. Premièrement, le rôle du réalisateur dans le jeu est vraiment limité et frustrant. C’est dommage parce que cela aurait pu être vraiment cool.
Ensuite, le jeu n’est pas fidèle au film du tout. Je veux dire, on s’attendrait à ce que le jeu suive le scénario du film, mais ce n’était pas du tout le cas. C’est vraiment décevant car je suis sûre que beaucoup de fans du film ont été déçus. Moi la première.
De plus, esthétiquement parlant, les cartes laissent à désirer et les indices manquent cruellement de précision. Certes, la mécanique du jeu peut évoquer le Mastermind, mais sans la précision nécessaire pour être efficace.
Et enfin, le pire pour moi, c’est que le jeu manque vraiment de rejouabilité et d’intérêt. Une fois la partie finie une fois, je n’ai pas eu envie d’y jouer à nouveau.
Bref, je dois avouer que Rear Window n’a pas réussi à satisfaire nos attentes. C’est beaucoup de temps perdu pour peu de plaisir. Heureusement, il y a bien d’autres jeux sur le marché qui sont bien plus fun et qui méritent notre attention.
Bof bof
- Date de sortie : Janvier 2023
- Langue : Anglaise. À quand la VF, et chez qui ? Mais le faut-il vraiment ?
- Assemblé en : Chine
- ITHEM : 3 sur 5. Pour en savoir plus sur l’ITHEM dans les jeux de société, c’est ici.
- EcoScore : C. Si vous voulez en savoir plus sur l’EcoScore dans les jeux de société, c’est ici
- Création : Prospero Hall
- Illustrations : Olin Jeong
- Édition : Funko Games
- Nombre de joueurs et joueuses : 3 à 5 (tourne mieux à 4-5)
- Âge conseillé : dès 8 ans (voire 6-7 ans)
- Durée : 20 minutes
- Thème : Photographie
- Mécaniques principales : Déduction d’images. Pour en savoir plus sur les différentes mécaniques de jeux, c’est ici.
Et encore une chose
Netflix a sorti une parodie, plutôt moyenne, de Rear Window. La femme qui habitait en face de la fille à la fenêtre.
Qui reprend en réalité non pas seulement Rear Window d’Hitchcock, mais un autre précédent film de Netflix, La Femme à la Fenêtre. Qui ressemble furieusement à Fenêtre sur Cour, dans une version modernisée de 2021.
Bon, j’arrête avec mes références ciné. Ou presque. Juste une dernière, pour la route. Ne ratez pas The Voyeurs. Également une histoire d’appart, de… voyeurs, et de suspicion de meurtre. Excellent petit film sans grande prétention mais qui vaut vraiment la peine.
2007. Wahou ! Nous avons de la peine à croire que cela fait depuis 2007 que nous sommes derrière l’écran à écrire sur ce blog que nous aimons tant ! Cela n’aurait pas été possible sans votre fidélité.
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Article écrit par Amélie. Passionnée de jeux de société. A commencé à jouer à des jeux de société à l’âge de 1 année, environ, et n’a jamais cessé depuis. Kiffe les jeux de plateau, coopératifs, narratifs et d’autres qui finissent aussi en « tif ». Adore partager sa passion et aider les autres à découvrir les top et éviter les flop.

