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Regicide : 12 nobles à abattre, 54 cartes, 0 pitié

🗡️ Simple jeu de cartes ? Non ! Regicide est LE défi coopératif de 2025. Notre test complet + conseils pour survivre aux 12 boss.


Regicide : Je vais te tuer jusqu’à ce que tu sois mort !

Regicide

⚠️ Avertissement : Dans un souci de transparence envers notre communauté, nous tenons à préciser que cet article reflète notre opinion personnelle sur le jeu. Nous n’avons reçu aucune contrepartie de la part de l’éditeur du jeu. Nous avons acquis et testé le jeu de façon indépendante, sans lien commercial avec son éditeur. Les avis présentés ici représentent notre analyse honnête et impartiale du jeu, basée sur notre propre expérience.


Vous pouvez écouter cet article sous forme de podcast ici, généré par IA. Et nous sommes également sur Apple Podcast & sur YouTube Podcast ici :

En bref :

  • Regicide transforme un simple jeu de 54 cartes en défi coopératif addictif où il faut vaincre 12 nobles de plus en plus puissants
  • La communication limitée et les mécaniques malignes créent une tension permanente qui pousse à enchaîner les parties malgré les échecs
  • À 12€, c’est une pépite accessible qui offre une vraie profondeur stratégique sous ses airs simples

12 nobles à abattre, 54 cartes en main, 0 communication autorisée : bienvenue dans votre nouveau cauchemar préféré.

Enthousiaste de rejoindre Gus&Co (mais un peu dans mes petits souliers !), pour mon premier article, j’ai décidé de vous proposer un test critique de Regicide, un jeu coopératif à communication limitée édité par Iello, sorti le 10 janvier 2025, destiné à 1 à 4 joueurs à partir de 10 ans, pour des parties estimées à environ 5 à 20 minutes.

Pour l’anecdote, sachez que le jeu provient à l’origine d’un concours dont le principe était d’inventer un jeu original à partir d’un simple jeu de cartes classique, concours qu’il a remporté ! Il revient en stock dans les boutiques à partir de début août… L’occasion idéale de vous en parler donc.

Alors, coup de maître ou coup d’épée dans l’eau ? Affûtez vos lames, aventuriers, et suivez-moi, on va voir ça…

« À mort Louis croix V bâton » !

Dans Regicide, vous allez devoir, comme son nom l’indique, prendre d’assaut le château et vous débarrasser du roi (un hobby bien français, en somme). Le problème des tyrans, vous le savez bien, c’est qu’ils ne se laissent pas faire, et qu’on peut rarement leur dire simplement de s’en aller avec un vote du peuple (bon, certains chefs d’État actuellement aussi, mais ça, c’est une autre histoire).

Il faut malheureusement en passer par des méthodes plus radicales, et tel le Brutus moyen, laisser tristement son nom dans l’Histoire en se salissant un peu les mains pour parvenir à ses fins. Jusque-là, une fois ses scrupules encombrants mis de côté, rien de bien difficile me direz-vous ? Que nenni, vous allez voir, la mission ne s’avère pas si simple…

Les despotes, c’est pas des potes

Car oui, il n’y a pas un, mais QUATRE rois à dessouder. En effet, petit rappel, le jeu se joue avec un jeu de cartes de type traditionnel, relooké pour l’occasion (on y reviendra). Et comme si ce n’était pas déjà suffisant, il va falloir occire aussi les quatre dames avant (tant pis pour la galanterie), ainsi que sa garde rapprochée constituée des quatre valets. Oui, vous avez bien compté, ça fait DOUZE adversaires successifs à dézinguer, de plus en plus coriaces. Si, si…

En effet, si les valets ont 20 points de vie et 10 points d’attaque, les dames ensuite ont 30 points de vie et 15 points d’attaque, et les rois, pour finir, 40 points de vie et 20 points d’attaque…

Pour faire tomber l’un après l’autre ces affreux aristos, il va falloir jouer à votre tour des cartes de votre main (dont le maximum oscille entre 5 et 8 suivant le nombre de joueurs), et dont les effets sont simples :

  • La valeur de la carte représente le nombre de dégâts infligés (ex : un 9 fait 9 dégâts. Simple. Basique.)
  • La couleur donne un effet particulier (les piques ♠ diminuent également DÉFINITIVEMENT l’attaque de l’adversaire, les trèfles ♣ doublent les dégâts, les carreaux ♦ font piocher des cartes à répartir équitablement entre les joueurs, et les cœurs ♥ permettent de remélanger des cartes défaussées vers la pioche).

Run away, run away!

Attention, si le vilain ne meurt pas sur le coup, pas de bol, il n’est pas content, vous l’avez fâché, et vous encaissez une riposte automatiquement, à la hauteur de son attaque ! Pour vous en prémunir, il faudra défausser de votre main un minimum de valeur cumulée de cartes (15 dégâts peuvent être absorbés en jetant un 9 et un 6, par exemple, ou plus).

Si vous n’y parvenez pas, eh bien, c’est la fin… Oui, vous m’avez bien lu, le décès d’un joueur entraîne la défaite de tout le groupe. GAME OVER. Et le challenge est d’autant plus délicat que vous ne pouvez communiquer QUE sur les informations visibles de tous (ex : hum, il ne me reste que 3 cartes les amis… gasp, vous avez vu, il ne reste que 5 cartes dans la pioche ?), mais en aucun cas sur le contenu de votre main, qui reste secret. Oppa Hanabi style.

La défaite peut aussi survenir si vous ne pouvez ni jouer de carte à votre tour ni passer sans mourir (passer est rarement une bonne option, mais ça peut être nécessaire pour avoir assez de cartes pour survivre et laisser à votre coéquipier le soin de poursuivre).

C’est pas bien de tuer les gens, parce qu’après ils sont morts…

Vous avez survécu ? Bravo, vous pouvez continuer l’assaut ! Il y a des petites subtilités néanmoins, car tuer c’est bien, mais un « perfect kill », c’est mieux… En effet, si vous parvenez à faire pile le nombre de dégâts nécessaires, non seulement le noble passe l’arme à gauche, mais en plus il rejoint le DESSUS de la pioche au lieu de la défausse…

Et concrètement, ça veut dire que vous allez l’avoir dans votre main (et dans votre pool de rebelles vindicatifs) plus tôt, bien plus tôt, ce qui est un atout certain, sachant que leur puissance d’attaque reste inchangée (10 pour les valets, 15 pour les reines, 20 pour les rois). Bref, des alliés énormes et secs, comme dirait l’autre.

En sus de cela, il y a des petites subtilités qui vous contraindront à des choix cornéliens :

  • Les as peuvent être joués en association avec n’importe quelle carte, ce qui ajoute leur effet à celui de la carte jouée (par exemple, jouer un as de pique ♠ avec un 9 de trèfle ♣ permettra d’infliger 10 points de dégâts ET de réduire de 10 points l’attaque de l’ennemi).
  • Il est possible de jouer des carrés, des brelans ou des paires de cartes, du moment que le montant total n’excède pas 10 (faut pas abuser non plus, c’est pas Noël hein). Ainsi, un brelan de 3 composé de carreau ♦, cœur ♥ et trèfle ♣ infligerait 18 dégâts, permettrait de piocher 9 cartes et de remélanger 9 cartes dans la pioche. Balèze.

U can’t touch this (oh-oh-oh-oh-oh-oh-oh)

Mais, mais, mais… (car il y a un mais) … Votre adversaire est immunisé contre l’effet de la couleur qu’il porte. Par exemple, face à la dame de trèfle ♣, jouer un 10 de trèfle ♣ infligera 10 dégâts, et pas 20… Ça met une tension permanente dans le choix de la carte à jouer, et oblige à bien faire attention à ce qui est déjà passé pour anticiper le boss qui est à venir (ok, mon trèfle ♣ ne fait pas son effet, je pourrais le défausser pour me protéger, mais ne va-t-il pas m’être plus utile pour la suite ?). Malin.

Et les jokers me direz-vous ? Eh bien justement, ils permettent, en les jouant (toujours seuls), de lever l’immunité du fourbe aristocrate en face de vous, même s’ils n’infligent pas de dégâts (valeur 0). De plus, il ne pourra pas riposter sur cette pose de carte, vous laissant tranquille et laissant le soin au joueur suivant de profiter de la fenêtre de tir que vous ouvrez. Pied de nez diablement jouissif.

Regicide en solo, c’est différent, ces jokers sont disposés de côté, toujours visibles, et font office de vies supplémentaires façon Mario, dans le sens où vous pouvez en retourner un, face cachée, à tout moment pour défausser votre main et en piocher une nouvelle (intéressant quand on n’a plus assez de cartes pour encaisser les dégâts qu’on s’apprête à recevoir).

Caramba ! Encore raté…

Vous l’emportez quand le dernier souverain est vaincu, et croyez-moi, vous allez sûrement enchaîner les tentatives infructueuses avant d’y parvenir… Si ce n’est pas le cas, soit vous êtes très forts et/ou chanceux (mes félicitations), soit vous avez triché ou n’avez pas bien appliqué les règles (plus probable). Il y a une dimension « die & retry » qui est indéniable, à l’instar de certains jeux vidéo ou de titres célèbres comme L’Île interdite ou Pandémie, pour ne citer qu’eux.

Il y a toujours des choix difficiles à opérer qui rendent l’issue de la partie incertaine, et celle-ci peut s’interrompre prématurément par manque de chance au tirage, certes, mais aussi – et surtout ? – par la faute d’une mauvaise gestion de votre main. En effet, le jeu est simple mais assez exigeant, et présente une belle courbe d’apprentissage : chaque défaite vous fera prendre davantage conscience des forces et faiblesses de vos choix, des effets des cartes, du tempo nécessaire, de la prise de risque raisonnable (ou pas)…

Cela vous incitera à vous relancer dans une nouvelle partie pour ENFIN réussir à poignarder ce satané boss de fin de niveau qu’est le dernier roi de la pile. Et quelle satisfaction quand cela arrive ! Car oui, c’est difficile mais pas infaisable, et les parties sont suffisamment rapides pour qu’on ne soit pas découragé à l’idée de retenter le coup. Encore. Et encore. (Debout les campeurs, et haut les cœurs…)

Conseils de jeu (si je puis me permettre) après pas mal de parties :

  • Ne cherchez pas nécessairement à tuer vite. Frapper un grand coup peut être tentant, mais il est souvent plus judicieux d’enchaîner les plus petits coups successifs.
  • Les trèfles ♣ et les piques ♠ sont très offensifs et puissants, certes… Mais ne sous-estimez pas la force des cœurs ♥, et des carreaux ♦ surtout… Bien joués, ils vous tiennent en vie, pour ce qui est une bataille marathon plus qu’un sprint.
  • Il vaut parfois mieux défausser plus que le montant nécessaire exigé pour encaisser les dégâts, afin de garder une ou des cartes qui seront décisives pour la suite du combat, ou le boss à venir.
  • Ne pas tenter de « perfect kill » systématiquement. Si la possibilité se présente et qu’elle n’hypothèque pas vos chances futures, alors tant mieux, go, sinon, une mise à mort simple mais effective vaut mieux qu’un coup parfait mais qui fragilise la suite de la progression.
  • Gardez en tête les figures que vous avez défaites, afin de vous préparer. Ce carreau ♦ dans votre main va-t-il vraiment être utile, sachant que vous savez que la prochaine figure que vous allez affronter a de bonnes chances d’être… à carreau ♦ ?

Anarchy in the UK

Regicide est un simple jeu de 54 cartes, aussi me direz-vous, à quoi bon l’acheter ? Autant sortir un paquet de cartes de belote du tiroir de mamie, et zou. Ce à quoi je répondrai, d’abord, touchez pas aux affaires de votre mémé. Sacripant. Non mais.

Ensuite, parce que d’un point de vue éthique, c’est soutenir les auteurs et les éditeurs qui ont déniché cette création, pour un prix vraiment modique (à peine 12 € !).

Enfin, parce qu’un travail esthétique et graphique sobre mais de qualité a été fait par l’illustrateur pour thématiser le jeu, avec des personnages et des créatures un peu ambiance Donjons & Dragons sur les cartes, mais sans tomber dans une fantasy outrancière trop figurative, qui pourrait rebuter les joueurs plus occasionnels et moins hardcore.

Par ailleurs, un petit compteur de points de vie bien pratique vous est fourni dans la boîte, même si une application intitulée Regicide Companion (gratuite et très bien faite) existe, et que je ne peux que vous recommander si vous n’êtes pas allergique à l’idée d’avoir un écran allumé à côté de vous lors d’une partie de jeu de société.

Si vous souhaitez vous faire une idée avant de passer en boutique, vous pouvez même l’essayer sur BGA, en solo ou à plusieurs !

Regicide, verdict

Ou : Tout homme qui doit dire « Je suis le roi » n’est pas un vrai roi… – Tywin Lannister

Vous l’aurez compris, Regicide est un véritable coup de cœur ! Pas un chef-d’œuvre au sens strict comme peuvent l’être certains titres incontournables bien sûr, mais une véritable réussite, une pépite qui saura vous tenir en haleine pour de nombreuses parties.

Petit jeu simple mais bien plus malin qu’il en a l’air, original, ingénieux, une sorte de casse-tête collaboratif agrémenté de mécaniques de jeu chafouines et de choix à faire qui seront autant de douces tortures pour vos méninges… Sans pour autant être inaccessible, ce qui l’ouvre au final à un public assez large, et ça, c’est plutôt chouette.

À plusieurs, les fins de partie peuvent donner lieu à des « on refait le match » savoureux (mais bon sang, pourquoi t’as fait ça à ce moment-là, sérieux ? On recommence !). Perso, même une fois le challenge accompli, j’y reviens régulièrement en solo, comme un petit défi à relever quand j’ai un petit quart d’heure à tuer (sans jeu de mots).

On a aimé :

Le concept génial qui transforme un banal jeu de cartes en machine à stress positif, et cette satisfaction ultime quand on parvient ENFIN à buter le dernier roi après 10-12 tentatives (oui, j’ai compté).

On a moins aimé :

La frustration quand un coéquipier joue LE trèfle qu’il fallait garder pour le boss suivant… mais bon, c’est aussi ça qui donne envie de relancer direct une partie « pour de vrai cette fois ».

C’est plutôt pour vous si…

Vous êtes du genre à dire « allez, juste une dernière » à 2h du matin, ou si vous trouvez que Dark Souls c’est pour les casual gamers.

Ce n’est plutôt pas pour vous si…

Vous lancez déjà la manette après un game over dans Mario, ou si votre définition du fun c’est « on gagne à tous les coups ».

Essayez-le, ça s’emmène aisément dans la valise en vacances, et si c’est déjà fait, dites-moi ce que vous en pensez ! Regicide, c’est le jeu qui vous fait détester les rois encore plus que vos impôts, mais avec le sourire.

Très bon !

Note : 4 sur 5.

  • Label Dé Vert : Non. Pour en savoir plus sur le label Dé Vert, c’est ici.
  • Création : Paul Abrahams, Andy Richdale, Luke Badger
  • Illustrations : D.J. Phillips, Sketchgoblin
  • Édition : Iello
  • Nombre de joueurs et joueuses : 1 à 4
  • Âge conseillé : Dès 10 ans
  • Durée : 20 minutes
  • Thème : Cour royale
  • Mécaniques principales : Cartes, coopératif. Pour en savoir plus sur les différentes mécaniques de jeux, c’est ici.

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14 Comments

    • RZR guillaume

      Un grand plaisir de vous lire.👍
      Bien joué d’avoir rejoint l’équipe de Gus.
      J’ai adoré les nombreuses « rèf », comme disent mes enfants.😎

      Merci pour ce sujet qui fait connaître le concours et ce vainqueur.
      Regicide a un très fort potentiel de retheme ! BGG en a plein ; ça donne des idées ✨.

  • Nojmi

    Nous avons découvert Regicide en famille pendant les vacances, et ce fut une excellente surprise. Avec nos enfants de 8 et 10 ans, nous avons enchaîné les parties et pris beaucoup de plaisir à dégommer des boss ensemble. Mon fils a particulièrement apprécié les mécaniques proches de celles des jeux vidéo, avec les points de vie, les attaques, les dégâts… Des éléments qui lui ont parlé immédiatement et ont facilité son entrée dans le jeu.

    Pour plus d’accessibilité avec des enfants et éviter trop de frustration, nous avons choisi d’aménager un peu les règles. Nous jouons en dévoilant nos cartes à plat devant chaque joueur : cela permet de meilleurs échanges tactiques, favorise la collaboration, et donne une belle dynamique de progression collective. Pour les premières parties — et surtout quand nous jouons à deux — nous avons aussi augmenté le nombre de cartes en main, ce qui rend le jeu un peu plus accessible sans le rendre trop facile.

    Autre ajustement : l’utilisation des jokers. Nous les jouons comme en mode solo, mais de manière collective. Le groupe décide ensemble quand et comment les utiliser, soit pour refaire sa main, soit pour lever l’immunité d’un ennemi. Chaque joker ne peut être utilisé qu’une seule fois par partie. Cette adaptation nous a aidés à ne pas rester bloqués dans certaines parties où aucun carreau ne sortait.

    Malgré ces ajustements, le jeu reste tout à fait prenant. Nous ne gagnons pas à tous les coups, et la tension monte clairement au fil des combats, qui deviennent de plus en plus intenses. C’est un jeu court, rapide, tactique, coopératif, avec une grande rejouabilité. Les règles sons simples, les cartes sont jolies, et les personnages représentés collent bien à la force de chaque figure. Bref, un très bon jeu en famille !

    • Fred de Gus&Co

      Merci pour ce retour! Et oui, gros avantage d’être un jeu coopératif très accessible et jouable en famille! Les ajustements de règles « maison » que vous évoquez sont intéressantes, et comme je dis souvent (même si les auteurs ont passé de nooooombreuses heures à tester pour équilibrer leur création), au final le plus important c’est que tout le monde s’amuse 😉

  • Caro

    Merci pour cette découverte ! On enchaine les parties à 2 depuis la lecture de l’article, sans avoir réussi à vaincre le boss de fin pour le moment … Faute de trouver le jeu dispo à la vente, on l’a testé avec un jeu de cartes classiques mais l’alerte est mise pour aller acheter le jeu dès qu’il réapparait en magasin. Pour le soutenir et aussi pour les cartes qui ont l’air sublimes !

    • Fred de Gus&Co

      Merci Caroline pour ce retour, content qu’il vous plaise! Et ne désespérez pas, ça va finir par venir, il faut une conjonction de facteurs (certains contrôlables, comme la maîtrise et la réflexion, et d’autres pas, comme la chance) pour y arriver. Comme au poker! Et comme disait Winston Churchill « le succès c’est d’aller échec en échec sans perdre son enthousiasme » 😉

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