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Petite reine, grands plaisirs. Nos jeux préférés sur le thème du vélo

Entre courses cyclistes et moyen de transport quotidien, le vélo, ce véhicule fascinant. Voici nos 3 jeux de société de vélo préférés.


Le Vélo

Vélo : véhicule à deux roues, non polluant, parfait pour l’exercice physique. Entre la nécessité de circuler «vert», la quantité astronomique de guides de voyage pour cyclistes et la popularité planétaire du Tour de France, le vélo rayonne.

Dans une semaine très exactement, dimanche 25 septembre, en partenariat avec Genèveroule pour fêter leurs 20 ans, nous organisons une balade-aventure, à vélo, un jeu grandeur nature, une sorte d’Escape game géant qui va vous permettre d’explorer plus de 40 lieux dans Genève.

Le pitch ? Votre grand-père vous a laissé un manuscrit, vous invitant à retrouver son trésor, son héritage. Et tout commence avec, dans un vélo.

👉 Vous pouvez vous inscrire ici. Et c’est gratuit !

Pour faire écho à cette actualité, nous avons décidé de nous pencher sur le vélo, son histoire, sa culture, et nos trois jeux de société préférés qui mettent le vélo en avant.

Saviez-vous que le tout premier vélo a été construit à la suite d’une… éruption volcanique ? Saviez-vous que la draisienne des débuts mit près d’un siècle à acquérir une bonne réputation ? Que le sport cycliste fut d’abord méprisé par l’élite bourgeoise ? Ou encore, qu’en 1894 Annie Londonderry fut la première femme cycliste à accomplir un tour du monde ?

Histoire (rocambolesque) du vélo

Le vélo a évolué et s’est amélioré au cours d’un siècle, grâce à plusieurs inventeurs différents.

Et tout commença par un volcan.

Karl von Drais (ienne)

Qui a inventé le vélo ? La réponse est un peu plus compliquée qu’on peut l’imaginer. Il n’y a pas qu’un seul nom derrière son invention. Mais aux origines du vélo, il faut citer le baron allemand Karl von Drais.

Il fut le premier à réaliser les prémisses du vélo, un développement majeur lorsqu’il a créé un engin orientable à deux roues en 1817.

Connu sous de nombreux noms, dont le « vélocipède », le « hobby-horse », la « draisine », du nom de son inventeur et la « machine à courir, ” cette première invention a fait de Drais comme le père du vélo. Mais la bicyclette telle que nous la connaissons aujourd’hui a évolué au 19ème siècle grâce au travail de plusieurs inventeurs différents. 

Aujourd’hui, plus de deux siècles plus tard, son invention existe toujours et encore. Si vous avez des enfants, vous connaissez la… draisienne. Pour les habituer à gérer leur équilibre, oubliez les petites roues ou le tricycle. La draisienne est le meilleur moyen d’apprendre aux enfants à faire du vélo plus tard.

La draisienne (Laufmaschine) est donc inventée en 1817 par un baron badois, Karl von Drais, d’où son nom. Il établit un premier record le 12 juin 1817, parcourant 14,4 km en 1 heure.

Mais tout commença par un volcan.

Vélocan

L’éruption du volcan Tambora en 1815, survenue en avril sur l’île de Sumbawa, en Indonésie, entraîna un sensible changement climatique. Cette altération conduit en 1816 les États-Unis et l’Europe à subir ce que sera dénommé « une année sans été » et qui entraîne une baisse du rendement dans les récoltes. Les chevaux qui sont les principaux moyens de locomotion, à l’époque, manquent d’avoine. Ce qui a conduit à l’abattage massif de chevaux en Europe et notamment en Allemagne. L’invention de Von Drais, la « Laufmaschine » pourrait, selon son inventeur, pallier le manque de chevaux qui se fait ressentir dès 1817.

Le tout premier vélo a donc été développé pour remplacer les chevaux, à la suite de l’éruption de ce volcan en 1815. Une anecdote historique croustillante.

La draisienne est expérimentée à Paris, par son inventeur, en avril 1818 au carrefour de l’Observatoire, non loin du jardin du Luxembourg.

Alors que le vélocipède de Drais n’a connu qu’un bref passage sous les projecteurs avant de tomber en désuétude, sa première version a continué d’être améliorée à travers l’Europe. 

À partir des années 1860, plusieurs inventeurs français différents, dont Pierre Lallement, Pierre et Ernest Michaux, ont développé des prototypes avec des pédales fixées à la roue avant. Ce furent les premières machines à être appelées « vélos ». Mais elles étaient également connues sous le nom de « boneshakers » pour leur conduite difficile.

Monte-en-l’air

Dans l’espoir d’ajouter de la stabilité, des inventeurs tels qu’Eugène Meyer et James Starley ont ensuite introduit de nouveaux modèles dotés d’une roue avant surdimensionnée. Surnommée «penny farthing», d’après la taille respective de ces deux pièces de monnaie, par analogie avec les roues, ou également « Ordinary« , ou « Grands bis » en français, ces machines aux formes étranges sont devenues à la mode dans les années 1870 et 1880 et ont contribué à donner naissance aux premiers clubs de vélo et aux courses compétitives. 

En 1884, un Anglais du nom de Thomas Stevens fut le tout premier homme à conduire un vélo à grande roue lors d’un voyage autour du monde.

Alors que le penny-farthing a contribué à intégrer le cyclisme dans la vie de tous les jours, sa selle à plus de 1,50m de haut le rendait trop… dangereux pour la plupart. 

Les premières versions du cycle ont séduit les nobles et les bourgeois qui avaient le temps et l’argent pour voyager. Puis, dans sa déclinaison sportive, le vélo a conquis les prolétaires.

Dans le vélo, il y a autant de pratiquants que de pratiques. L’engin permettait de faire des acrobaties, ensuite il est devenu un instrument de sport, de mesure, de compétition, et en même temps, de découverte du monde, de liberté. Donc à partir d’un simple objet, il existe une déclinaison d’usages qui permet à tout le monde de s’y retrouver, du bourgeois du XIXe au simple ouvrier qui se rend à l’usine.

Ensuite, le vélo sportif c’est comme le foot : une manière pour les classes défavorisées d’accéder à un revenu important et donc de grimper dans l’échelle sociale.

Deux roues motrices

Cela a finalement changé en 1885, lorsque l’Anglais John Kemp Starley, le neveu de James Starley, a perfectionné une conception de « vélo de sécurité » qui comportait des roues de taille égale et une transmission par chaîne. De nouveaux développements dans les freins et les pneus ont suivi peu après, établissant un modèle de base pour ce qui allait devenir le vélo moderne.

La conception du vélo actuel est restée sensiblement la même depuis que John Kemp Starley (1854-1901) a conçu ce vélo de sécurité Rover, la première incarnation du véhicule moderne.  Il tire son nom du fait qu'il était beaucoup plus bas et plus stable que le vélo ordinaire.  (Crédit : SSPL/Getty Images)
La conception du vélo actuel est restée sensiblement la même depuis que John Kemp Starley a conçu ce vélo, la première incarnation du véhicule moderne.

Dès le départ, les femmes avaient un accès libre à la bicyclette. Mais il a été question de leur… barrer la route. Au tout début, ce sont des aristocrates ou de grandes bourgeoises, qui représentent une partie infime de la population, qui y ont accès.

Lorsque la pratique se démocratise aux classes moyennes, on va se poser la question. Parce que là, on a affaire à des femmes «du quotidien». Ces débats sont essentiellement menés par des hommes, « vélophiles » ou « vélophobes ».

Certains incitent les femmes à faire du vélo – pour être de bonnes épouses en bonne santé – et d’autres accusent le vélo de tous les maux et notamment de mener à la dépravation. Car il éloignerait les femmes du foyer, et donc de leurs devoirs de mère et d’épouse.

Ce n’est qu’un au revoir (au vélo)

À la fin du XIXe siècle, l’intérêt pour les machines à deux roues a explosé. Dans les années 1890, l’Europe et les États-Unis vivaient un réel engouement pour le vélo. C’est d’ailleurs en 1903 que le fameux Tour de France est créé.

Et puis, la voiture à moteur thermique est arrivée. Changeant les rues, les villes, les pays. L’attrait du vélo passa au second plan. Le vélo a d’abord été considéré comme un engin qui permettait de couvrir rapidement de grandes distances. Face à la voiture, il est devenu un symbole de lenteur.

Aujourd’hui, entre crise environnementale et économique, plus d’un siècle plus tard, et grâce à l’émergence du vélo électrique, on en redécouvre les bienfaits. Sportifs, sanitaires, urbains, écologiques et… contemplatifs.

Et pourquoi « la petite reine » ?

Quand on parle de vélo, on parle également, comme le titre de cet article, de petite reine.

L’expression « petite reine » serait attribuable en partie à la Néerlandaise Wilhelmine d’Orange-Nassau, qui est devenue reine à l’âge de 10 ans. Elle aurait été l’une des premières à avoir utilisé le vélocipède dans sa version moderne et à se promener avec dans la ville.

D’autres prétendent que l’expression aurait été repérée pour la première fois dans un ouvrage intitulé Histoire du vélocipède en 1891, rédigé par Pierre Giffard, un pionnier de la presse sportive.

Sous le titre La Reine Bicyclette, l’auteur avait alors employé ces mots pour désigner tant la bicyclette que celle qui la chevauchait. La couverture illustrait d’ailleurs une femme qui portait un vélo moderne à bout de bras.

Nos 3 jeux de société de vélo préférés

Le sport, comme le vélo, ne rejoint pas le panthéon des thèmes favoris dans le monde du jeu de société. Ce thème fait pâle figure aux côtés des jeux de construction de villes médiévales ou de balades bucoliques dominicales dans des donjons obscurs et sombres (Isabelle s’est cognée contre les murs).

On en trouve toutefois certains. Voici notre sélection de nos trois jeux de société de vélo préférés.

Flamme rouge

Dans le monde du cyclisme, la flamme rouge est un drapeau qui indique le dernier kilomètre : la dernière ligne droite, le moment où il faut tout donner !

Flamme Rouge est un jeu de course rapide et tactique où chaque personne contrôle une équipe de deux coureurs : un rouleur et un sprinteur.

Immersif, cohérent, Flamme Rouge est, sans conteste, le meilleur jeu de société de vélo de tous les temps. Vous aimez le cyclisme, ou pas ? Vous aimez les jeux de course, ou pas ? Vous aimez le vélo, ou pas ? Qu’importe, vous aimerez Flamme Rouge !

Le jeu a connu un tel succès qu’il est depuis accompagné par de nombreuses extensions. Mais le jeu de base se suffit très bien à lui-même.


Velonimo

L’auteur de jeux Bruno Cathala a trois particularités :

  1. Il est Haut-Savoyard
  2. Il pratique le cyclisme
  3. Voire point 1

Faire du vélo en HAUTE-Savoie est tout un programme : montagnes, vallées, dénivelé. Et reblochon, mais ça n’a aucun rapport ici.

Bruno Cathala en connaît donc tout un rayon (de vélo. OK je sors) sur le sujet. Allier vélo et jeux de société tombait donc sous le sens. C’est le cas avec Velonimo, un tout petit jeu de cartes, tactique, malin.

Velonimo, c’est une contraction entre vélo, et animaux, puisque le jeu de cartes place des animaux en train de faire du… vélo, donc.

Le but du jeu ? Obtenir 8 points en premier, en remportant plusieurs manches, sachant que plus les manches avancent et plus on gagne de points par personne qui remporte l’étape. Parfois, il faudra jouer les 5 manches max que comptent le jeu, parfois moins, tout dépend de sa débrouille.

Velonimo est un « bête » jeu de défausse d’enchères. Pour remporter la manche, on doit réussir à défausser toute sa main. Pour y arriver, on doit poser une ou plusieurs cartes de valeur supérieure. Rien de bien original, rien de trépidant.

C’était sans compter le « génie » (mais est-ce que le génie existe vraiment ?) de l’auteur haut-savoyard. À son tour, on peut passer, ou jouer une carte pour sa valeur, ou plusieurs de même valeur ou de même couleur. Dans ce cas-là, chaque carte jouée vaut 10 points, et le plus petite additionne sa valeur à la combinaison.

Autrement dit, si je joue 3×7, je n’obtiens pas 21, mais 37. Parce que 3×10+7. Avec 2-3 subtilités de cartes spéciales, mais rien de bien méchant, pas besoin de garder le nez dans les règles, et c’est un réel plaisir.

Des règles simples, fluides, efficaces, épurées, pour un jeu beaucoup plus subtil qu’il n’y paraît, avec des stratégies intenses et passionnantes pour tout public. Quelle carte, quelle combinaison jouer ? Passer, ou se battre ? On se croirait vraiment en pleine course de vélo ! Le… dopage en moins.

À noter que ce jeu a été produit en France. Oui, c’est possible. Et le jeu ne coûte qu’une petite dizaine d’euros. Donc oui, c’est possible !


Tales from the Loop

Après deux jeux de société, il fallait bien également mettre un jeu de rôle de, sur, avec des vélos.

Tales from the Loop est un jeu de rôle suédois sorti en 2017 en VO, puis une année plus tard en VF

Et avant de devenir un jeu de rôle, Tales from the Loop s’inspire des paysages bucolico-SF de l’artiste suédois Simon Stålenhag et de son livre d’illustration sorti en 2014. Une excellente série Amazon est même sortie en 2020.

Le pitch :

En 1954, le gouvernement suédois mit en chantier la construction du plus grand accélérateur de particules au monde dans les profondeurs du lac Mälar près de Stockholm. Les travaux s’achevèrent en 1969, et rapidement une communauté de scientifiques et de chercheurs se regroupa en créant un centre de recherche avancé au milieu du décor pastoral de l’île de Munsö. Les habitants de l’île appellent ce centre: le Loop.

Le concept est… simple : de jeunes adolescents se retrouvent dans les années 80 dans un contexte où la robotique et une certaine forme de technologie existent, grâce à cette « Boucle », un accélérateur de particules (toute relation avec le CERN de Genève n’est que le pur fruit du hasard…) et aux recherches souterraines

D’ailleurs, en parlant de CERN et d’accélérateur à particules, la VF du jeu de rôle propose un supplément se déroulant dans et autour de Genève et dans l’Ain aussi

Mais ce n’est pas un passé bourré de technologie bling-bling pour autant. Les robots sont plutôt patauds, lourdauds, vétustes, aux relents rouillés, brouillés et ruraux. On est loin d’un Blade Runner et encore plus d’un Star Wars.

Avec Tales from the Loop, ne vous attendez pas à de la SF qui ronronne et rutile. On est plutôt dans une ambiance rétro-futur décatie post-vintage.

Tales from the Loop fait un peu penser à Stranger Things. Mais pas du tout.

Alors oui, les deux séries placent de jeunes ados évoluant un peu dans la marge et qui se voient confrontés à d’étranges manifestations qui chamboulent leur compréhension de la réalité. Rite initiatique par définition.

Mais. Dans Tales from the Loop, les ados évoluent déjà dans une réalité étrange qui le devient de plus en plus. Et autre différence notable, si Stranger Things fait la part belle à l’action, au récit, à l’aventure, aux rebondissements, la série Tales from the Loop est plus… méditative, lente, léchée, plus proche de l’humain.

Et pourquoi intégrer ce jeu de rôle dans notre sélection de nos jeux préférés de vélo ? Parce que la bande de jeunes ados, vous, dans le jeu, se déplacent à vélo, tout le temps. Comme toute bande de jeunes ados des années 80 qui se respecte (coucou les Goonies).

Et toute récemment, comme cela se fait de plus en plus dans le marché du jeu de rôle, Tales from the Loop a sorti une boîte d’initiation pour jouer tout de suite, avec des règles de base illustrées vous expliquant comment jouer, Un scénario complet, l’enfant recyclé, 5 personnages prêts à jouer, une grande carte en couleur de la région du Loop et 10 dés pour jouer. Il ne manque plus qu’un vélo en kit.

Des vélos, des ados, des robots, c’est l’excellent jeu de rôle Tales from the Loop.


Et encore une chose

Juste pour le fun, nous avons dégoté cette petite perle, sortie en 2013. Belle vidéo, belle perf. L’homme qui vivait sur son vélo.

Et encore une dernière chose

Voici une petite sélection de 5 chansons culte sur le vélo.

À bicyclette, Bourvil (1947)

Bourvil joue sur l’équivoque autour du mot « coureur », entre le chanteur, qui parle de « coureur cycliste », et son interlocutrice, « Un’belle fille au frais minois », qui le taxe de « coureur de jupons », dans une chanson au registre tendrement comique.

À bicyclette, Yves Montand (1968)

Écrite par Pierre Barouh et composée par Francis Lai, c’est LA chanson mythique sur le vélo. Amour, liberté, virées magiques avec les copains sur les petits chemins à la campagne. Tous les ingrédients de ce qui fait le charme unique de la petite reine sont là.

La complainte de l’heure de pointe, Joe Dassin 1972

Genève Paris, voitures, bouchons, Le vélo comme solution. Voire tout en bas de l’article.

Bicycle Race, Queen (1978)

Peut-être la chanson sur le vélo la plus culte, Bicycle Race de Queen.

Stop Me If You Think You’ve Heard This One Before, The Smiths (1987)

Le groupe britannique bien connu des années 80 a sorti un titre et surtout un clip avec beaucoup, beaucoup de vélos dedans.

Et encore une toute dernière chose

Paris, à vélo, en septembre 2022, ça donne ça :


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Article écrit par Gus. Rédacteur-en-chef de Gus&Co. Travaille dans le monde du jeu depuis 1989 comme auteur et journaliste. Et comme joueur, surtout. Est également pilote de chasse pour l’armée américaine, top-modèle, bio-généticien spécialiste en résurrection de dinosaures, champion du monde de boxe thaï et de pâtisserie végane, dompteur de tricératops, inventeur de l’iPhone et mythomane.


Et vous, est-ce que vous faites aussi du vélo ? Combien de kilomètres faites-vous par jour, par semaine ?

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3 Comments

  • Mathelin

    Mouarf, mon jeu de vélo préféré est de loin Leader 1 qui n’a pas eu le succès mérité…
    Enfin, c’est bien plus long et stratégique que FR mais il faut en vouloir !

  • Ja

    J’aurais bien mis aussi The Belgian Beers Race, même si ce n’est pas que du vélo. Mais beaucoup de vélo quand même ! (et un peu de bière)
    Et non, je ne fais pas de vélo. Par contre, j’ai un (presque) voisin qui a relié en décembre Paris à Anvers en Grand Bi !!

  • daguiseb

    Et le super Um Reifenbreite ? Vieux jeu, certes, mais toujours jouable avec plaisir !
    J’avais bien aimé Sprinter en son temps aussi, un jeu de cartes avec lequel nous avons fait de belles parties !

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