Critiques de jeux,  Jeux de plateau

Le jeu du jour : Genesia

Genesia, de quoi ça parle ?

Le pitch :

« Incarnez l’un des descendants du tout premier humain et partez à la conquête du monde et de l’île merveilleuse de Genesia. Au fil des âges, faites prospérer votre lignée et ses nombreux clans, explorez de vastes régions, bâtissez vos cités, valorisez vos inventions et affirmez votre suprématie par la force ou la non-violence.« 

Genesia est un jeu de draft, d’abord, et de contrôle de territoires, surtout. On commence par se composer une main de cinq cartes, avec toutes une incrustation histoire, puis on déploie ses clans, des jetons en plastique plutôt simples, basiques et… laids

Oubliez de vivre une aventure épique, narrative ou cohérente. On drafte des cartes qui commencent à l’âge préhistorique, qui sautent au moyen-âge et Renaissance, et qui finissent à l’ère contemporaine et future proche, puis on pose des pions sur le plateau selon les indications des cartes. Au final, le jeu paraît presque… abstrait : réussir à poser, positionner, déplacer ses jetons en plastique sur les différents plateaux. Un 2 sur 5 sur l’ITHEM

Et comment on joue ?

Le jeu est découpé en trois âges, chacun découpé en cinq phases :

On commence par drafter une main de cinq cartes

Puis on joue la première phase, la croissance, en jouant les cartes de la phase correspondante. C’est lors de cette phase que l’on place de nouveaux clans, de nouveaux jetons sur le plateau, en commençant par le bas son propre plateau. En principe. Tout dépend encore des cartes jouées, qui permettent quelques modifications de cette règle de base

Quand tout le monde a joué, on enchaîne sur la phase d’expansion, pendant laquelle on déplace ses clans en payant pour leur mouvement

S’ensuite alors une phase d’attaque. On peut en effet décider d’attaquer les clans adjacents. Le ou la joueuse du tour décide du nombre de clans perdus dans l’assaut, et voilà. Aucun lancer de dé, aucun hasard. Très fort !

Puis arrive enfin la toute dernière phase, la fin de la manche, de l’âge, qui correspondant en réalité à un décompte intermédiaire

Expliqué ainsi, Genesia peut paraître simple, simpliste, même. Mais la profusion de cartes toutes uniques rend le jeu, la phase de draft profonde et tactique : quelle carte choisir, laquelle ne pas laisser aux autres

Les règles sont extrêmement claires et didactiques, même si le texte est plutôt dense. En se voulant exhaustives, elles finissent quelque peu par noyer l’information

Et comment on gagne ?

En plus de trois décomptes intermédiaires, à la fin de chaque âge, avec des points reçus pour ses cartes jouées pendant les manches, on procède à un décompte final lors duquel on reçoit les points affichés sur le terrain occupé. Sachant que plus on avance sur son plateau, plus on s’approche du terrain central, et plus les cases deviennent lucratives. L’idée étant de réussir à « camper » sur les territoires qui rapportent le plus de points pour éviter de se faire déloger

Le jeu s’appelle Genesia, qui se réfère à la partie du plateau central. Et vous l’aurez deviné, c’est là que se trouvent les cases, les territoires qui rapportent le plus. Genesia qui devient alors l’objet principal de toutes les convoitises

On gagne également un bonus pour les territoires occupés sur les plateaux adverses, ce qui pousse alors évidemment à aller se taper l’incruste chez les autres

Interaction ?

Sur l’IGUS, l’échelle de mesure de l’interaction dans les jeux, Genesia atteint un 5/5

Pourquoi ?

Parce que dans Genesia, on peut décider de bastonner les autres, du moment que leurs clans, jetons, sont adjacents. Et que pour traverser les terrains occupés, il va falloir les payer, monopoly-style

Je reprends ma phrase : « dans Genesia, on peut décider de bastonner les autres ». Le mot-clé ici est : « décider ». Et c’est toute la subtilité du jeu. En début de la phase d’attaque, et à chaque tour de joueur et joueuse, on choisit en cachette la face de sa tuile « guerre ou paix ». Si tout le monde choisit « paix », il n’y a pas donc aucun baston à ce tour. Sinon, c’est San Ku Kaï, c’est la bataille !

Qu’on se comprenne bien. Genesia est un jeu de contrôle de territoire dans lequel l’affrontement n’est pas automatique, voire même parfois, souvent évité. On peut tout à fait remporter la partie sans cogner

Une interaction forte, directe, belliqueuse, même si selon les parties, les gens à la table, elle peut tout à fait s’avérer plutôt distante, froide, à se regarder en chien de faïence plutôt qu’en pitbull

À combien y jouer ?

Genesia peut se jouer de 1 à 4

À 1, en solo, on joue avec deux clans, le but étant de faire le plus de points en ne prenant à la fin que la civilisation qui en a eu le moins. Mouaif. Pas une configuration qui nous a émerveillés. Je m’en souviens, enfant, au club d’Échecs, pour nous entraîner nous devions souvent jouer contre… nous-mêmes. Bof bof

De 2 à 5, on adapte le jeu en plaçant un territoire par personne à la plateau, avec toujours le plateau de Genesia au centre. Et comme le draft est (presque) en simultané, la partie avance vite

À 5 toutefois, le jeu ralentit à chaque phase. Pas la configuration la plus fluide, mais c’est à 5 que l’interaction, la tension sont les plus vivaces

À partir de quel âge y jouer ?

Le jeu indique 14 ans, c’est une bonne estimation puisqu’on doit réussir à bien comprendre toutes les cartes

Alors, Genesia, c’est bien ?

Oui, c’est pas mal du tout

Mais

Mais Genesia tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. Le jeu ressemble en effet beaucoup, beaucoup trop peut-être à It’s a Wonderful World, sorti il y a à peine quelques semaines, sans accroche territoriale bien sûr. Comme on dit en anglais : « creativity is 90% perspiration, 10% inspiration ». Beaucoup de taf, un peu d’inspiration. Sauf que dans le jeu de société, faut encore rajouter quelque part 2% de luck factor. Le bol

Je m’explique. Est-ce que 7 Wonders aurait connu son succès s’il n’était pas justement tombé à point nommé quelques mois après que Dominion ait été en perte de vitesse ? Est-ce qu’un jeu qui sort pile-poil au moment du creux des sorties l’année ne rencontrerait pas un plus grand succès ? Juger un jeu en mode « hors-sol », hors de son contexte paraît difficile et bancal : quels sont les jeux qui sont sortis juste avant, juste après ? Est-ce qu’il en bénéficie, comme appel d’air ou préparation, ou en pâtit, justement ?

Dans le cas de Genesia, la réponse est plutôt évidente. Malheureusement pour lui, en ce qui nous concerne, il tombe à plat, trop peu de temps juste après le carton qu’est It’s a Wonderful Wold. Même si oui, bon, d’accord, les deux sont quand même différents, ils proposent toutefois des mécaniques suffisamment proches pour faire doublon lors d’une soirée jeux, et la parenté avec 7 Wonders est également bien trop marquée pour passionner, surprendre

Genesia est symptomatique d’une situation qui devient de plus en plus criante sur le marché du jeu de société. Avec 3K+ jeux qui sortent chaque année, on sature ! Qui a encore le temps de jouer à tous ? Qui a encore le temps de suivre, de s’intéresser à toutes ces sorties ? Et surtout, qui a encore le budget de tous les acheter, ou en tout cas, juste quelques-uns ? Si Genesia était sorti il y a 20-30 ans, il aurait peut-être tout déchiré

Il faut tout bonnement aujourd’hui arrêter de dire, de croire que tout jeu neuf qui sort est juste génial. Il y a des bouses, il y a des jeux médiocres, il y a des jeux moyens, il y a de bons jeux, il y a de très bons jeux. Avec 3K+ de sorties annuelles, on tape clairement dans la quantité et plus dans la qualité. Si le marché ralentissait, on verrait peut-être émerger des jeux plus aboutis, plus originaux, plus transcendants. Aujourd’hui, on n’a même plus le temps de s’arrêter, d’apprécier. Une nouveauté en chasse une autre, et les jeux un poil moins palpitants disparaissent dans la masse

Genesia ne nous pas convaincus, pas passionnés. Aujourd’hui, avec tant de jeux, et tant de bons jeux, Genesia ne représente pas un choix primordial. Il rejoint la cohorte de jeux sympa, bons, mais pas cruciaux. Pas un must-have de 2020

🔴 Genesia, score final :

Note : 3.5 sur 5.

Ce qui nous a plu ❤️️

✅ Un jeu de draft fluide et évident

✅ Baston, ou pas baston ?

✅ Des scores intermédiaires qui rajoutent une tension et renforce le phénomène de course

✅ De superbes illustrations sur les cartes

Ce qui nous a moins plu ⛔️

❌ Un matériel basique qui ne casse pas de briques : des jetons ronds pas très sexy

❌ Un jeu qui tombe comme un cheveux sur la soupe, en ressemblant beaucoup (trop ?) au blockbuster It’s a Wonderful World ou 7 Wonders

❌ Des règles denses, exhaustives, qui finissent par noyer l’information

❌ Encore un jeu à l’EcoScore désastreux… Quand est-ce que le marché du jeu de société prendra son éco-responsabilité ?

❌ Un premier âge très lent, plutôt plat, en guise de préparation pour la suite, beaucoup plus interactive

❌ Un jeu très répétitif qui offre peu de progression : draft, pose, confrontation. Pas de combos, d’Engine-Building, de mécaniques captivantes. Un jeu au final très protocolaire. On y jouera 1-3 parties, avec le risque avéré de s’en lasser ensuite

❌ Un jeu au final très basique, pose, expansion, qui peine à passionner

❌ Pas un must-have de 2020

Et encore une chose

Vous pouvez consulter les règles de Genesia ici

Vous pouvez trouver Genesia chez Philibert ici

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Et également chez Magic Bazar ici

  • Auteur : Eric Labouze
  • Illustrateur : Fabrice Weiss, Alexey Yakovlev, Alexei Iakovlev
  • Éditeur : Super Meeple
  • Nombre de joueurs et joueuses : 1 à 5 (mais comptez plutôt 2 à 4)
  • Âge conseillé : Dès 14 ans (pas moins)
  • Durée : 90′
  • Thème : Civilisation
  • Mécaniques principales : Draft, objectif secret, contrôle de territoire
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21 Comments

    • Gus

      Je ne connaissais pas le jeu vidéo. Mais à lire la description, non, pas tellement, hormis le nom et le côté un peu civ des deux. Dans le jeu vidéo, visiblement, un accent est mis sur la gestion de ressources, ce qui n’est pas du tout le cas dans le jeu de plateau, puisque on ne fait que déplacer ses pions sur les plateaux, c’est tout

      Merci pour réaction !

  • Antoine

    Bonjour
    Je me pose la question , en quoi ce jeu ressemble a its a wonderfull world ? A pars pour le cote draft, les deux jeux n’ont quand meme rien a voir non ?
    J ai ete assez surpris en lisant votre avis car on a l’impression que pour vous le jeux est sans interet alors que les autres tests que jai pu lire vont plutot dans le sens opposé , le cote repetitif nest il pas comblé par les differents cartes que l on peut avoir et nos objectifs cachés ?
    Je pose ces questions car je cherchais un petit jeu d affrontement/gestion de territoire ce que genesia a lair d’être mais j ai l’impression que vous y avez cherché quelquechose de beaucoup plus grand et avait été déçus au final

    • Gus

      Merci pour votre question Antoine

      En soi, comme dit dans l’article, Genesia est un bon jeu. Mais pas un grand jeu. Avec tant de jeux qui sortent le marché, peut-on encore jouer à tout ? Tout acheter ? Non. À force, on se va concentrer sur les meilleurs titres, les plus inspirés, les plus inspirants, les plus palpitants. Tout ce qui n’est malheureusement pas le cas de ce titre. Ils ne nous a en tout cas pas offert une expérience de jeu suffisamment mémorable pour lui conférer 5 étoiles

      Avec autant de jeux qui sortent sur le marché, entre Essen, Gen Con, FIJ, il faut se rendre à l’évidence. Il y a d’excellents jeux, et puis il y a les autres

      Achetez-le, jouez-y, faites-vous votre propre expérience et avis. Nous n’avons pas la prétention de détenir la vérité. Nous ne sommes qu’un petit blog modeste. Notre but : partager avec notre communauté notre passion du jeu de société. Et parfois, comme pour ce jeu, ou d’autres, quand un jeu ne nous a pas offert d’expérience ludique palpitante, nous le disons

      Merci pour votre réaction Antoine et bienvenue sur Gus&Co ❤️

      • Antoine

        Merci de m’avoir répondu
        En tant que simple passionné aussi il est parfois difficile de se faire un avis sur un jeu avant de lacheter , meme en lisant plusieurs tests et avis ( je vais de ce pas bouquiner le livre de regles lol )

        En tout cas , jai toujours trouvé vos articles intéressants justement car on sent un vrai franc-parler 😉

        • Gus

          De rien Antoine

          Il ne faut juste pas nous prendre pour ce que nous ne sommes pas. Nous n’avons aucune prétention, juste le plaisir de partager nos idées, nos coups de cœur. Et si nous avons trouvé un titre moyen ou moisi, pourquoi ne pas le dire ?

          Pour être honnête avec vous Antoine, certains éditeurs n’apprécient pas notre démarche et nous « boudent ». C’est leur façon à eux de réagir, nous le respectons. Mais nous continuerons à dire / écrire quand un jeu n’est pas le meilleur jeu de l’année OMG c’est incroyable hop 5 étoiles 😂 C’est un peu facile, non ?

  • Charles Amir PERRET - SUPER MEEPLE

    Le jeu propose certes une mécanique de draft et se déroule sur 3 âges mais les similitudes avec It’s a Wonderful World ou 7 Wonders s’arrêtent là. L’expérience de jeu est très différente de ces 2 autres jeux, et à noter quand même que la dimension géographique et spatiale, qui est clé dans Genesia, est tout simplement inexistante dans IWW ou 7 Wonders. Donc à la limite on pourrait davantage comparer le jeu à un Risk ! L’interactivité est aussi très différente dans Genesia, ce qui est un autre point clé du jeu.
    Bref, la comparaison ne doit pas s’arrêter à la forme, qui reste anecdotique dans le jeu par rapport à l’expérience de jeu 😉

  • Steeve

    Je pense que la qualité moyenne des jeux a atteint un niveau incroyable. Le problème est que la quantité est telle qu’on assiste à une sorte de nivellement dans l’offre. S’il sort 15 super jeux de drafts dans le mois, lequel je vais acheter ? Celui qui aura fait le plus de bruit, celui auquel tout le monde joue. Et c’est comme ça que la grande majorité des jeux sortis passent aux oubliettes au bout de trois mois.
    Sans compter la folie de l’achat, la poursuite de la nouveauté qui devient incroyable. Combien je vois d’annonces de gens qui vendent leurs jeux encore sous blister ! Ou bien qui disent qu’ils n’y ont joué qu’une fois !
    Bob j’arrête car je commence à parler comme un vieux nostalgique du bon vieux temps…!!!

  • Laurent

    Merci Gus pour cette chronique (et toutes les autres). Ta démarche honnête me plaît… Je n’adhère pas toujours à tes avis mais depuis toutes ces années de lectures de ton blog, j’ai appris à lire entre les lignes et me forger une opinion (ce qui t’apparait comme une qualité sera peut-être un défaut pour moi).
    Toujours est-il que dans l’offre ludique pléthorique d’aujourd’hui, il est bon d’avoir quelques références désintéressées et non partisanes pour s’y retrouver… Ton blog est, avec Vin’jeu, ma préférée.
    Un dernier petit mot pour partager mon évolution quant à ma pratique du jeu : acheter moins, jouer plus aux meilleurs jeux.
    Bonne continuation !

    • Gus

      Merci Laurent, j’apprécie ton commentaire, il compte beaucoup pour nous ‼️

      Maintenant, si je peux me permettre, il ne nous (les blogueurs ludiques) est pas toujours aisés de nous montrer honnêtes. Nous recevons beaucoup de jeux des éditeurs, qui attendent un article, et un article positif bien sûr. Une pub vraiment pas chère pour eux ! À la suite de certaines de nos critiques mitigées, certains éditeurs nous ont clairement dit ne plus vouloir nous envoyer leurs jeux ! Tant pis. Pour eux. Parlez de moi, en bien ou en mal, mais parlez de moi… Ce n’est pas de moi mais de Léon Zitrone

      Après, rester honnête et avoir le cran de dire quand un jeu ne nous a pas plus me rappelle cet article de 2014 : des blogueurs payés 100 euros 💶 pour écrire des chroniques https://gusandco.net/2014/03/30/scandale-des-blogueurs-payes-100-euros-pour-ecrire-des-critiques-de-jeux/

      Pas cool

      J’aimerais juste partager avec toi une anecdote singulière qui nous est arrivée déjà plusieurs fois. Des éditeurs et agences de comm ont pris contact avec nous pour parler de leur jeux pour leur campagne Kickstarter. Pour leur faire de la pub. Sommes-nous juste des hommes/femmes-sandwiches ? En échange d’un jeu qui leur coûte pouic, ils vont en vendre 1-2-50 derrière grâce à un article. Une situation étrange…

      Comment rester honnête ?

  • Starfan

    Bonsoir à tous(et à toutes!!) Je suis passionné par les jeux de société depuis 5,6 ans maintenant et ce qui m’a le plus étonné il est vrai est le nombre de jeux qui sortent toutes les semaines pour un secteur encore dans l’ombre(la grande majorité des gens ne connaissent encore que le Monopoly ou le Trivial Pursuit). Et je n’ai jamais trouvé un jeu complétement nul,quand je n’aime pas un jeu c’est juste par rapport à mes goûts(je déteste Magic Maze mais je ne peux pas dire que c’est un mauvais jeu). J’ai toujours envie de comparer aux jeux vidéos car je me rappelle très clairement avoir joué à des grosses bouses dans les années 90 et 2000.

  • Alfa

    Merci pour cet article, et bravo encore pour votre « ligne éditoriale » de donner un avis personnel mais argumenté.
    Je ne suis pas toujours d’accord avec vos avis mais l’important est d’informer sur ce qui peut plaire ou déplaire aux éventuels acheteurs.

    • Gus

      Mais j’espère bien que vous n’êtes pas toujours / jamais / parfois / rarement / souvent d’accord avec vous

      Le pire serait de n’évoluer que dans une bulle, une « echo chamber » dans laquelle tout le monde pense la même chose. Aucun débat, aucune liberté, aucune ouverture

      Nous avons tort sur toutes, dans toutes nos critiques

    • Gus

      Non pas de salade. Si ce n’est celle de décompter à la fin TOUS les terrains occupés (ça peut faire beaucoup). Et 2-3 autres trucs aussi. Tout est expliqué dans l’article

À vous de jouer ! Participez à la discussion

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